Devoir Culture générale Et Expression: Analyse des documents et extraction des idées à retenir

1. Analyse des documents et extraction des idées à retenir.

1.1 Ce texte est un texte descriptif, il s’agit d’un article de Jacqueline Voisenet, intitulé « Le Banquet Chrétien au Moyen Âge ». Elle l’a publiée à l’Université de Provence, en 1996. L’auteur explique la préparation d’un banquet entre un riche barbare du pays de Trèves et son esclave, l’histoire se situe un peu avant 594. Deux idées principales se dégagent de ce texte ; la première, c’est que les festins ou banquets sont organisés pour montrer la richesse de l’hôte et améliorer sa réputation. Le but est de combler les invités avec d’énormes et délicieux banquets, ainsi que des distractions. Toute la famille est invitée et se réunie pour l’occasion, généralement le dimanche, jour du soleil pour la Barbarie. La deuxième idée principale qui se dégagent de ce texte c’est que même si l’hôte, celui qui organise le banquet (et donc le paie), possède d’énormes moyens financiers, il a quand même besoin du savoir-faire d’une tierce personne, et de ses connaissances en matière de préparation de banquet (chasse, cuisine…). Dans ce texte, la tierce personne n’est autre que l’esclave que le riche barbare a acheté, et sans lui le banquet n’aurait pas pu être préparé.

1.2 Ce document est un texte narratif, il s’agit d’un extrait du roman d’Emile Zola, «L’assommoir », de 1877, présenté dans sa réédition des éditions Folio Gallimard, datant de 1978. La scène se passe dans le milieu ouvrier de la fin du XIXème siècle. L’auteur raconte un repas le 19 Juin, avec une multitude de convives, tous invités par Gervaise, une blanchisseuse mariée à Coupeau, un ouvrier zingueur. De ce texte, se dégage l’idée que lorsque les convives sont assis autour d’un repas, ils ne pensent qu’à manger le plus possible, sans rater une seule bouchée. Tout au long du repas le sujet principal de discussion et même de dispute, c’est la nourriture. Les convives ne se soucient même plus de l’image qu’ils renvoient d’eux même aux autres. La nourriture est tellement une obsession pendant ce genre de repas, qu’un certain nombre de convives tombent malade, d’indigestion, pendant parfois plusieurs semaines.

1.3 Ce document est un texte de type informatif/explicatif, il s’agit d’un article publié sur Internet le 16 novembre 2006, qui s’intitule « Les femmes dans les banquets politiques en France vers 1848 ». L’auteur, Jacqueline Lalouette, veut expliquer le rôle des femmes lors de banquets politiques vers 1848, et montrer l’inégalité qu’elles subissent, par rapport aux hommes. L’idée principale qui se dégage de ce texte, c’est que pendant les repas officiaux, politiques ou civiques, les femmes ne sont pas conviées ; alors que des milliers d’homme mangent, boivent et font la fête à volonté. Les femmes, elles, restent à la fenêtre à regarder le festin auquel elles n’ont pas le droit. Et si des femmes sont présentes lors des repas de cette époque, elles ne sont pas conviées à table, mais tout simplement assise dans des tribunes qui leur sont réservée. La femme est alors utilisée comme « femme-fleur », c’est-à-dire, muette et décorative.

1.4 Ce document est un texte de type informatif/explicatif, il s’agit d’un extrait d’un livre écrit par Roger Caillois, parut aux Edition Gallimard en 1938. L’auteur veut expliquer comment la façon de faire la fête et de célébrer a évolué, tout au long de l’histoire. L’idée principale de ce texte, c’est que même si, à première vue, les fêtes ont profondément changées, et font presque partie du quotidien, perdant leur aspect festif et de surprise, la définition de la fête est restée la même à travers ces dernières années. En effet, les gens se déguisent, dansent, chantent, se permettent des audaces et mangent et boivent dans l’excès. L’indigestion de nourriture et la beuverie sont restés au fil du temps, indissociables de l’esprit de fête.

2. Résumé

Même si aujourd’hui les fêtes ne sont plus des évènements importants auxquelles toutes la ville veut assister, car en effet elles font partie du quotidien et ne sont plus convoitées comme c’était

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