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Note :

Observations générales :

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1. Étude et exploitaion d'un paratexte.  (7 points)

Le document 4 s'initule « les « boites à bébés » pourraient disparaître en Allemagne ». Situé en dessous du titre, nous trouvons un sous-titre qui est « Le Bundestag a voté une loi ouvrant la voie à l’accouchement « conideniel », sur le modèle de l’accouchement sous X en France ».

Après avoir minuieusement étudier ce document, nous pouvons affirmer qu'il s'agit d'un article extrait du journal « La Croix », publié le 14 Juin 2013 et dont l'auteur n'est autre que la journaliste Camille Le Tallec. Ces précédentes informations sont données à la fin du document.

Ce document est donc un article de presse, qui comprend 4 sous sous-titre et donc 4 parties bien disinctes qui permetent de bien orienter le lecteur, de bien l'informer sur chaque partie qu'il va lire.

 La première est une critique de l'ONU. Ce dernier affirme que « les « boites à bébés » dénient le droit de l'enfant à connaître ses origines. La seconde partie oppose le droit à l'anonymat au droit à connaître ses origines. La troisième partie relate des 278 enfants déposés dans des « boîtes à bébés » depuis 1999. Et pour finir, la quatrième partie témoigne de l’inefficacité contre les infanicides.

Enfin ajoutons que en dessous de la première partie du document, on peut remarquer la présence d'une note laissée par Mme Baillet-Convers qui explique l'accouchement sous X. Cette note peut servir de complément d'information pour le lecteur, en plus de l'article de presse.

2. Observaion et rélexion sur le corpus.  (6 points)

2.1) L'ordre dans lequel les documents devraient être analyser est les suivant :

– Document 2 : Collecif, direction André Burguière, Histoire de la famille,  Armand Colin, 1986.

– Document 3 :  Photographie 1, Le tour d’abandon, Hôtel-Dieu Saint-Jacques à Toulouse. Photographie 2, Babyklappe à Lübeck.

– Document 1 : « EN EUROPE LES « BOÎTES À BÉBÉS » SE MULTIPLIENT », Charlote Chabas,  Le Monde, 14 juin 2012.

– Document 4 : « LES « BOÎTES À BÉBÉS » POURRAIENT DISPARAÎTRE EN ALLEMAGNE », Camille Le Tallec, La Croix, 14 juin 2013.

Pourquoi ?

Le document 2 témoigne le l'abandon des enfants dans les hôpitaux par les familles pour diverses raisons : soit pour cause de famine , de famille trop nombreuse, de mères trop jeunes etc … Ainsi que les causes de l'augmentaion de ces abandons.

 Le document 3 est quant à lui une photographie du fameux « tour » qui permet d'imager l'endroit où l'on abandonne les bébés pour éviter tout acte inhumain. Ce document permet de créer une liaison entre le document 2 et le document 1.

 Le premier document qui est l'aricle de presse du journal Le Monde. Charlote Chabbas déinit ce qu'est une « boîte à bébés », aussi appelées « tour d'abandon », situées à l'entrée des hôpitaux. Cete journaliste évoque l'augmentaion des « boîtes à bébés » dans les pays européens suite à d'horribles faits divers.

Pour finir, le document 4 parle du cas de l'Allemagne où les « boîtes à bébés » tendent à disparaître pour laisser place à l'accouchement « conideniel », appelé accouchement sous X en France.

2.2) Le rédacteur a établi un rapport entre ces deux photographies car ces dernières représentent toutes les deux la même chose, une « boîte à bébés ». L'une se situe à  Hôtel-Dieu Saint-Jacques à Toulouse, en France, tandis que l'autre se trouve à Lübeck en Allemagne. Le « tour d'abandon » en France paraît beaucoup moins négligé que le « Babyklappe » en Allemagne.

3. Identificaion des documents et propos directeurs.  (9 points)

3.1) Le premier document est un article de presse, écrit par la journaliste Charlote Chabas dans le journal « Le Monde », publié le 14 Juin 2012, qui contient un type de discours non littéraire informaif. Cet article met en avant le fait que le nombre de « boîtes à bébés » font leur réapparition dans les pays européens, dans onze pays européen, vers les années 2000.

3.2) Le deuxième document est un extrait du livre Histoire de la famille écrit par Armand Colin en 1986, c'est un texte narratif. Le sujet principal évoqué est l'origine et l'accroissement de l'abandon d'enfant entre le  XVIe et le XVIIe siècle.

3.3) Le troisième document est un photographie illustrative prise en plan d'ensemble. Le commentaire de la photographie est un commentaire dramatique. Le propos principal de cet ensemble est que les enfants qui sont déposés dans le « tour d'abandon » sont pris en charge par des religieuses de service qui leurs donnent les premiers soins avant qu'un officier de santé les examine pour déterminer leur âge et leur sexe.

3.4) Le quatrième document est un article de presse qui a pour but de nous informer, c'est donc un texte informaif et non littéraire. La journaliste Camille Le Tallec  nous informe dans le chapeau de l'article que le Bundestag a voté une loi permettant au femmes d'accoucher  sous X.

4. Sélection d’idées dans les documents.    (18 points)

4.1)  Du  XVIe au XVIIe, l'abandon d'enfant était expliqué par le jeune âge de la mère ou l'incapacité des parents à pouvoir élever leur enfant.

 À parir des années 1760, le nombre d'enfants abandonnés connaît une forte croissance. Cete croissance d'abandon se traduit par une augmentation de diverses motivations d'abandon qui sont la misère, la famine, la naissance d'enfants illégitimes nés hors mariage.

C'est suite à ces moivaions que le parents placent leurs bébés dans les tours d'abandons avec la certitude que les hôpitaux les prennent en charge et les offrent ce que les parents eux-mêmes n'auraient pas pu les offrir, et pense même pouvoir les récupérer quand ils le souhaiterons.

L'apparition de la contracepion et de l'accouchement sous X en France pourrait limiter l'abandon d'enfant.

4.2) La journaliste Charlote Chabbas nous explique que les « boîtes à bébés » avaient disparues en Europe mais qu'elles existent depuis le Moyen-âge. Cependant, suite à la découverte le nourrissons morts dans les poubelles, les « boîtes à bébés » ont fait leur réapparition dans onze pays européens tel l'Allemagne, l'Italie, la Pologne, la Suisse, et 7 autres.

Cete réapparition divise l'opinion publique en deux. D'une part il y a ceux qui soutiennent le système, et d'autre part ceux qui s'y oppose.  

En effet, d'un côté, ces boîtes à bébés peuvent venir en aide aux parents ayant des difficultés financières ou autres et qui souhaitent abandonner leur enfant dans un tour d'abandon afin de lui  garantir le droit à la vie. Mais d'un autre côté ce système peut poser problème d'un point de vue éthique ou légal.

5. Comparaison de documents.   (20 points)

          Depuis le Moyen-Age, l'abandon d'enfant reste un gros problème de société en Europe. Les parents abandonnent leurs enfants pour diverses raisons. Selon André Burguière les abandons sont à double origine : Tout d'abord, la misère qui régnait dans ce temps là n'est pas un critère à négliger. Les parents n'ont pas les ressources nécessaires pour subvenir aux besoins de leur enfant. De plus, beaucoup de jeunes femmes deviennent mère bien trop tôt. Entre la misère et le jeune âge, les parents n'ont d'autres choix que d'abandonner leur enfant. À cette époque la contracepion n'existait pas encore et chaque enfant supplémentaire devenait une charge.

          Ces abandons connaissent une forte croissance à parir des années 1760. Il est bon de savoir que de nouveaux procédés sont mis en place pour permettre à ces nouveaux-nés délaissées de pourvoir vivre et ainsi d'être élever, notamment en Europe. Les enfants sont placés dans des boîtes à bébés, des tours, comme l'illustre la photographie de tour d'abandon de l'Hôtel-Dieu Saint-Jacques situé à Toulouse. On peut y voir un bébé que l'on a abandonné dans l'une de ces fameuses boîtes, emmitouflé dans une lange derrière une vitrine. Comme le souligne Burguière, les parents déposent leurs enfants dans les boîtes à bébés en maintenant l'idée que leurs progénitures auront tous les soins nécessaires , ainsi qu'une éducaion que les parents eux mêmes auraient eux du mal à assurer, et pensaient pouvoir les les récupérer ultérieurement. Après avoir laisser leur bébé dans un tour, ce dernier est pris en charge par des religieuses, ou des infirmières, qui sont chargées d'effectuer les premiers soins avant qu'un officier ne vienne examiner l'enfant pour déterminer son âge ainsi que son sexe.Ce système existe encore de nos jours. Selon l'article de Charlote Chabbas paru dans le journal Le Monde le 11 juin 2012, après avoir disparu, les boîtes à bébés refont surfaces dans onze pays européens suite à d'atroces faits divers concernant la mort de nourrissons. L'Allemagne fait partie de ces onze pays et la photographie de la boîte à bébés, autrement dit du Babyklappe, situé à Lübeck permet d'illustrer ce à quoi ressemble un tour en Allemagne.

          D'autre part, les boîtes à bébés sont de plus en plus critiqués. D'après Charlote Chabbas, le fait que les enfant n'ont pas le droit d'avoir accès à l'identité le leur géniteur consitue une violaion du droit de l'enfant à connaître ses parents. Parallèlement, selon l'aricle de la journaliste Camille Le Tallec paru dans le journal La Croix le 14 juin 2013, outre le fait que l'enfant ne puisse jouir de la possibilité de retrouver ses parents biologiques, les boîtes à bébés en Allemagne tendent à devenir dépassées car entre 1999 et 2000, l’Insitut allemand pour la jeunesse en a recensé 973 bébés abandonnés dont 652 à la suite d’un accouchement anonyme, 43 confiés à du personnel soignant, et seulement 278 déposés dans des « boîtes à bébés ». Ajoutons que même si les religieuse souiennent l'idée que ce système permetrait de pallier aux infanticides, ce n'est pas le cas car les motivations d'abandon et les motivations d'infanicide se difèrent.

          Pour finir, suite à la mise en place d'un nouveau système qui est l'accouchement sous X en France, les femmes pourront accoucher en toute anonymat, mais arriver à un certain âge et avec l'accord de ses représentant légaux, l'enfant pourra avoir accès à son idenité biologique. Critiquées par l'ONU, les boîtes à bébés tendent à disparaître en Allemagne.Le pays tente d'adopter le même système qu'en France. En effet, Camille Le Tallec nous informe du vote du Bundestag concernant une loi ouvrant sur l'accouchement confidentiel où l'enfant pourra connaître l'identité de sa mère dès l'âge de 16ans, si cete dernière refuse l'affaire passera devant un juge.  De nous jours, les boîtes à bébés tendent à disparaître pour laisser place à un abandon plus réglementé tel l'accouchement sous X, ou aussi appelé accouchement confidentiel en Allemagne. À cela peut s'ajouter les moyens de contraceptions mis à disposition de tous pour éviter les abandons.

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