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Culture générale bts ag 2ème année cned

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Par   •  7 Novembre 2018  •  Dissertation  •  2 018 Mots (9 Pages)  •  1 036 Vues

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Marie-Sarah Rodriguez, BTS AG 2 -ème année

Devoir d’expression et de culture générale numéro 1

   Le thème global de ces quatre textes est, irrévocablement, les catastrophes naturelles, les causes et les conséquences de ces dernières. Ces textes nous permettent de nous forger une opinion et de réfléchir sur les potentielles responsables de ces catastrophes. Le premier texte, de F. Bussy paru en 2008 est un article de presse extrait de « penser nos catastrophes », il est de genre argumentatif car il nous emmène à nous poser des questions. Le second texte de R-E. Dagorn parut en 2014 est également un article de presse extrait de « les catastrophes naturelles n’existent pas » est de genre argumentatif aussi, il nous permet également de réfléchir à ce sujet. Le troisième texte est un poème paru en 1756 extrait de « poème sur le désastre de Lisbonne », il est de genre rhétorique, il transmet une émotion et nous permet de nous poser certaines questions. Enfin, le dernier document est une photographie en couleur, extrait du journal « le monde » parut en 2015. Il présente les dégâts que peut causer une catastrophes dites « naturelles » sur les habitations du village Bento-Rodrigues au Brésil.  Nous serons donc amenés à nous poser cette question : L’humain est -il responsable des catastrophes naturelles ? Nous répondrons à cette question sous le plan suivant :

I – Les catastrophes naturelles sont causées par les humains

II – Les catastrophes naturelles ne sont pas causées par les humains

  Premièrement, nous allons nous demander si les catastrophes naturelles sont causées par les humains, d’après F. Bussy les catastrophes seraient causées par les nouvelles technologies crées par les humains. Il nous rappel que plus tôt, à l’époque, les catastrophes étaient signe de la colère divine, aujourd’hui il n’en est rien, les catastrophes « naturelles » sont belles est bien causées par nous, les humains. Il y aurait une sorte de « duel » entre l’humain et la nature. Selon F. Bussy, plus l’homme à du pouvoir, plus la nature est abîmée car l’humain utilise la nature pour créer ses nombreuses technologies. La catastrophe naturelle est devenue une banalité, une normalité, à tel point que la politique ne s’y intéresse pas et que l’économie incite à consommer encore plus. Les humains épuisent les ressources ce qui entraîne la crise écologique, comme on peut le voir dans les pays du pôle nord où la banquise fond de plus en plus, ou comme en Amazonie où les forêts disparaissent a vu d’œil laissant les animaux sans repères. L’humain est donc de plus en plus confronté à l’inconnu de part la croissance de son pouvoir. Cela pourrait nous amener à nous demander quelles autres catastrophes naturelles vont arriver dans plusieurs années, quand la technologie sera à son apogée. Pour R-E Dagorn, les catastrophes naturelles sont dues aux humains. Il dit que les humains, notamment les autorités, ne sont pas assez vigilantes, il explique cela avec des chiffres, l’ouragan Katrina à causé 1850 morts et 135 milliards d’euros pour tout réparer. Dagorn met ça en parallèle avec une autre catastrophe : l’écroulement d’un pont en Nouvelle-Orléans. Il explique que l’investissement de 30 milliards d’euros aurait permis de sécuriser le pont et d’éviter cette catastrophe. Il met aussi en lumière le fait que les humains ont besoin de voir des catastrophes pour réagir et instaurer des « espaces de risques » (=mise en place de stratagèmes pour réduire les risques de catastrophes) notamment comme en Chine, où les tremblements de terre ne cessent de frapper, les chinois ont décider d’instaurer des normes de sécurité au niveau des immeubles afin d’être au maximum préparer au pire une nouvelle fois. Voltaire explique à travers ses vers que l’humain en devient même inhumain à travers le fait que la catastrophe en devient qu’un événement. Il évoque le fait que quand le tremblement de terre est survenu à Lisbonne, les autres pays, notamment la France, restaient indifférents, qu’ils restaient étrangers à ce drame et qu’ils ne mesuraient plus l’importance d’une telle catastrophe naturelle. Pour le journal Le Monde, les catastrophes « naturelles » pourraient en effet être causés par les humains, comme sur la photographie qu’il présente. Ces barrages qui ont cédés ont était crées par les humains, s’il n’y avait pas eu ces barrages, les écoulement n’auraient pas eu lieu. Si les humains arrêter de jeter leurs déchets et de créer des barrages il n’y aurait pas de catastrophes comme le tsunami de déchets miniers boueux au Brésil.

  A présent, nous allons analyser le cas contraire : les catastrophes sont belles est bien « naturelles », elles résultent donc principalement de la nature elle-même. Selon F. Bussy, les catastrophes sont dues au temps présent, elles sont intemporelles et peuvent frapper tout être vivant sur terre qu’il soit âgé ou non, français ou chinois, homme ou femme. Les catastrophes feraient donc parties de la nature. F. Bussy évoque aussi le fait qu’il y a deux types de catastrophes : les catastrophe naturelles (= qui résultent de la nature) et les catastrophe moderne (= qui résultent de l’humain). Il précise aussi que les catastrophes seraient des « accidents » de la nature. Dagorn lui, image cela par des concepts, trois en l’occurrence : il explique qu’il y a les catastrophes naturelles ou anthropiques (= séisme, tsunami, ouragan…), les catastrophes dues à la technologie (catastrophe nucléaire, pollution excessives…) et enfin la création d’espaces du risque (= structures avec des normes de sécurité pour prévenir les catastrophes). Dagorn précise également que les catastrophes naturelles sont dues au réchauffement climatique qui perdure depuis un siècle déjà et donc que ceci n’a rien à voir avec les humains, du moins que ce n’est pas notre entière faute étant donné qu’il y a cent ans la technologie n’était pas assez développer pour causer des tords à la nature. Pour Voltaire, la terre est abîmée mais ce n’est pas la faute de l’humain, sans oublier que le contexte de ce poème s’est déroulé en 1756 (la technologie n’était pas présente). Il nous donne une image de la nature égoïste, injuste avec ces humains qui entretiennent la nature chaque jour. Voltaire met en lumière le fait que les enfants n’ont rien à voir avec la dégradation de la nature et que tout cela est injuste, il est même décontenancé face à ce drame qu’il juge incompréhensible de part tout ce que fait l’humain pour sa planète. Pourquoi punir des innocents qui n’ont pas dégrader la nature ? Pour le journal Le Monde, qui nous présente une photographie d’un écoulement de déchets miniers boueux, il semblerait que la faute soit purement humaine de par les barrages qu’ils créent. Mais on peut aussi interpréter ça autrement : s’il n’y avait pas de barrage où irait les habitants de ce village ? Les humains doivent -il être dépendant des caprices de la nature ? Les humains doivent bien mettre leurs déchets quelque part, comment jeter ses déchets sans polluer ? La question semble être un cercle vicieux impossible à résoudre, les humains font partis de cette planète en cohésion avec leur environnement, l’un n’allant pas sans l’autre, il n’y a pas de solution.

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