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Devoir de Culture générale et expression

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Par   •  5 Mars 2015  •  2 166 Mots (9 Pages)  •  3 713 Vues

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Devoir 3

Sujet : dans le cadre du thème « ce que manger veut dire », formes et fonctions du banquet jusqu'au milieu du 20e siècle

1. Analyse des documents et extraction des idées à retenir

1.1 Le document 1 est un article intitulé « Le Banquet Chrétien au Haut Moyen Age ». Il est écrit par Jacqueline Voisenet en 1996 pour l'université de Provence. Cet article est de type narratif raconté par le personnage Grégoire de Tours. L'auteur, à travers ce texte a voulu nous faire passer comme idée directrice que les banquets au Moyen Age étaient importants. Les repas avaient pour but, à cette époque, de rassembler la famille et des amis autour d'une grande table avec un bon repas. Ce banquet montrait la générosité et la puissance de la famille qui conviait. Le repas devait être digne d'une table royale. Cette invitation permettait d'entretenir les relations entre les invité notamment les liens d'amitié et la paix. En effet, l'auteur nous explique cela à travers l'histoire de Léon . C'est un esclave acheté par un riche qui est devenu domestique puis, par la suite meilleur cuisiner. Le maître de l'esclave lui demande de préparer un repas royal pour sa famille. Pendant ce repas digne des plus grands banquets royaux, les invités vont s'échanger des cadeaux. A travers, cette petite histoire racontée par l'auteur, on prend conscience que les repas sont vraiment importants pour la famille et les amis au Moyen Age. Celui-ci permet de resserrer les liens entre les hôtes et les invités, pour cela ils s'échangent des cadeaux autour d'un bon banquet mais il permet aussi de montrer la puissance , la richesse et la générosité des hôtes.

1.2 Le document 2 est un extrait du roman « L’assommoir » d’Émile Zola. Cet extrait vient d'une réédition Folio Gallimard de 1978. Le sous titre de cet extrait est « La fête de Gervaise » Il est de type narratif. Il met en scène plusieurs personnages dont Madame Gervaise est le personnage principal de cette scène. Ce passage va donner les détails d'un repas donné par une blanchisseuse à l’occasion de sa fête. C'est un repas donné par Gervaise qui a convié plusieurs personnes de la classe ouvrière. Le milieu ouvrier ne mangeait pas toujours correctement, contrairement à ce repas où les personnages mangent avec excès. A travers ce repas, Gervaise a crée une grande convivialité et une générosité. L'idée directrice de ce passage est l'abondance de la nourriture ( gourmandise) et du vin dans un milieu ouvrier. En effet, Émile Zola après avoir détaillé tout ce qu'il y avait à manger, a décrit la façon de manger des invités assez ironique en utilisant un langage familier. Ici, dans cet extrait, Zola décrit le comportement des personnages à table et la gourmandise avec laquelle ils vont manger.

1.3 Le document 3 est un article mis en ligne le 16 novembre 2006. Il a pour titre « Les femmes dans les banquets politiques en France vers 1848 ». Il a été écrit par Jacqueline Lalouette. Cet article est de type informatif. Il va nous montrer comment se passer les banquets pour les femmes avant et après la révolution de 1848. L'idée directrice de ce document est que les femmes n'étaient pas admises dans les banquets avant la révolution de 1848. Uniquement les hommes pouvaient profiter du banquet. En effet, les femmes étaient présentes mais elles servaient de décoration. Elles étaient cachées et avaient juste le droit de regarder. Elles ne participaient pas à la soirée et elles ne goûtaient pas aux banquets. Pourtant, après la révolution de 1848, lors d'un banquet, les femmes étaient dans des tribunes et ne participaient toujours pas à la soirée. Que cela soit avant ou après la révolution de 1848, les hommes festoyaient tandis que les femmes étaient présentes mais ne pouvaient toujours pas participer à la soirée.

1.4 Le document est un extrait du roman « L'Homme et le Sacré ». L'auteur de ce roman est Roger Caillois. Cet extrait a été publié en 1938 par les Éditions Gallimard. Le chapitre présent s'intitule « La fête comme excès ». Cet extrait est de type argumentatif. L'idée directrice de ce passage est, que cela soit dans le passé ou de nos jours, les fêtes n'ont pas changé. Les fêtes de nos jours ont gardé les mêmes traditions qu'auparavant. Il y a des toujours les mêmes effets néfastes associés aux fêtes. Les fêtes débordent toujours d'excès et cela n'a pas changé dans le temps. Les fêtes ne sont jamais les mêmes, elles ne se ressemblent pas mais pourtant elles ont toutes un point commun puisqu'elles sont toujours sources d'excès. L'influence du temps n'a pas fais changer les fêtes.

2. Résumé

Les fêtes n'ont pas changé malgré plusieurs incidents comme l'évolution des mentalités, ou encore la modernisation de la société ou les difficultés économiques que celle-ci a pu rencontrer. Les fêtes de nos jours ressemblent à celle d'auparavant, il y a toujours l'abondance de la nourriture et de la boissons puis l'excès de celles-ci. Les fêtes restent un moyen de convivialité. 60 mots

3. Développement personnel

Au cours des siècles, les repas ont été en nette évolution. Par exemple, les repas au Moyen Age étaient synonymes de famines pour les paysans tandis qu'ils étaient synonymes de banquets pour les seigneurs. Pendant le règle de Louis XIV, les repas étaient, quant à eux synonymes de repas somptueux. Selon les époques, les repas n'ont jamais été les mêmes. De nombreux facteurs ont fait que les repas ont évolué. Aujourd'hui, de nombreuses modifications sont intervenues dans nos repas festifs.

Quelles sont les changements intervenus dans nos repas festifs par rapport à ceux des époques antérieures ?

Pour répondre à cette problématique, nous verrons dans un premier temps les nouvelles formes de nos repas festifs, puis dans un second temps, nous verrons les nouvelles fonctions de ces réunions autour d'un repas festif et leurs causes.

Plusieurs facteurs ont fait évoluer les repas festifs au cours des siècles. La plus nette évolution concerne la nourriture et la boisson. En effet, dans le passé, les quantités de nourritures étaient monstrueuses lors des repas festifs. Aujourd'hui, la quantité de nourriture est moins impressionnante

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