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Culture général

Dissertation : Culture général. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  28 Octobre 2015  •  Dissertation  •  1 577 Mots (7 Pages)  •  1 174 Vues

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Devoir 1 (2éme) année culture général

  1. SYNTHESE

Nous sommes entourés d’objets de toutes tailles, de toutes origines, de toutes valeurs. Ils sont présents dans la vie de tous les jours, ce qui les rend indispensables.

Pourquoi l’objet fascine t’il autant l’être humain ?

Comme le montre les idées de Roland Barthes, la Nouvelle Citroën, 1957, Edition du seuil puis l’image de Renault et ainsi que l’écrivain Emmanuel Pagès, la voiture : un objet symbolique, juillet 2009, article de blog, la voiture représente un symbole particulier pour l’homme. Cet objet est une invention fantastique et artistique.

Contrairement à eux, nous avons Emmanuel Pagès, la voiture : un objet symbolique, juillet 2009, article de blog et enfin Dino Buzzati, suicide au parc, 1957, Edition de Laffont, l’objet devient obsessionnel pour l’homme quel que soit le prix à payer. Il est prêt à tout pour combler ses désirs.

D’après les documents présentés, nous verrons donc dans un premier temps, que les objets ne sont pas achetés pour leur fonction et qu’ils peuvent rendre passionnels.  Nous verrons ensuite dans un deuxième temps le désir que l’homme peut avoir envers un objet ainsi que sa signification pour lui et enfin pour finir par l’emprise que peux avoir ces objets sur l’homme.

Depuis la révolution industrielle, l’homme a changé son comportement face aux objets. Ils ont pris une place de plus en plus grande non seulement dans les gestes le plus simple de la vie quotidienne, mais également dans l’échelle des valeurs mondiales. La société fait d’un objet le roi. Il apparait dans l’analyse des documents du corpus que l’objet a une signification symbolique pour l’homme. Dans l’essaie de Roland Barthes, la nouvelle Citroën (1957), la voiture est comparée à une « cathédrale gothique ». Elle est décrite comme une déesse, une perfection à l’état pure.  Elle suscite une admiration collective. Cet aspect a également été mis en évidence en juillet 2009 par l’écrivain Emmanuel Pargès, la voiture : un objet symbolique, qui nous montre que la voiture est devenue un objet indispensable à l’être humain. D’après l’image de Renault, nous pouvons remarquer que l’automobile a une image dominante face à l’homme. C’est un véritable culte car elle nous domine.

La société de consommation est une société matérialiste. L’homme lui, ne travaille plus pour manger ou améliorer son confort intérieur, mais pour pouvoir s’acheter les derniers objets, nouvelles technologies. Ce n’est pas le prix qui import, mais ce que sont prix signifie aux yeux des autres.  L’homme aujourd’hui achète pour se montrer et non pour son utilité première. Comme nous montre exactement  Dino Buzzari, suicide au parc, Stéphane achète une voiture pour que l’on voit sa réussite. D’après Roland Barthes, la nouvelle Citroën, la place de l’automobile précédemment illustrait déjà l’idée de la Citroën. « Magique », « superlatif », elle est moins convoitée pour son utilisation.

Autre qu’un symbole,  la voiture représente beaucoup plus que ça pour l’homme. Elle  en devient une obsession.

L’automobile est vue comme un art. Comme le montre Roland Barthes, la nouvelle Citroën,  elle est admirée comme un être dont la perfection relève de la magie et du merveilleux. Sa description illustre bien les propos d’Emmanuel Pagès, la voiture : objet symbolique, l’automobile ne fait plus qu’un avec son conducteur. L’être humain en devient passionné. Pas non seulement parce que la voiture est devenue un symbole pour nous, mais également parce qu’elle fait une personne appartenir à un certain milieu. D’après Roland Barthes, la nouvelle Citroën, posséder une jolie voiture  satisfait le désir d’appartenance et peut amener à être considérer dans la classe social de la petite-bourgeoise. Ce qui illustre bien les propos d’Emmanuel Pagès, la voiture : objet symbolique, le modèle de la voiture choisit fait aussi ressortir la richesse de son conducteur. C’est pour cela que Stéphane, dans le texte de Dino Buzzati, suicide au parc, son soucis principal est  d’accomplir son rêve, pour faire partie de la haute société et qu’on le voit comme quelqu’un qui a réussi dans sa vie et qui peut tout posséder s’il le souhaite.

L’automobile  déclenche un certain plaisir chez l’homme. Comme peut nous le montrer Roland Barthes dans son texte, la Citroën est décrite comme un objet érotique, féminin. La Citroën est décrite avec passion, comme une déesse. Avoir une voiture pousse vers une autre étape, celle de l’indépendance. Comme le montre les propos d’Emmanuel Pagès, la voiture : objet symbolique, elle assure notre entrée dans le monde des adultes. Pour cela il y a un prix, mais peut importe le désir est plus fort que tout et pousse l’homme acheter sans compter. On entretient également un lien affectif avec celle-ci. Ainsi que peut le montrer Dino Buzzati, suicide au parc, la voiture est un objet qui fait corps avec son conducteur, ils ne font plus qu’un. Il l’a tellement désiré. Il reste émerveillé par cette perfection, cette création, comme peut  le montrer l’image de Renault.

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