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Culture generale cned

TD : Culture generale cned. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  28 Juin 2015  •  TD  •  2 341 Mots (10 Pages)  •  1 254 Vues

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Culture General – Devoir 02

  1. Analyse des documents et extraction des idées à retenir.

Le document 1 « Chronique de clandestins ; le havre de l’école du Hogar » est du genre non-littéraire, c’est un article de presse tirer du journal « Le Monde », daté du 13 octobre 2006. Il est de type informatif et explicatif.

L’idée directrice de l’article est l’immigration des mineurs Sénégalais aux Iles Canaries.

Le texte de Benoit Hopquin explique les raisons qui poussent ses jeunes à quitter prématurément leurs familles pour rejoindre ce qu’ils voient comme l’Eldorado. Dans cet article, l’histoire de quelques jeunes nous est exposée, Pape Omar, 13 ans, fils de facteur, issue de la ville de Saint-Louis au Sénégal. Massek, 14 ans, et Modou, 17 ans.

Ces trois enfants ont quitté le Sénégal à bord de cayuco, petite pirogue de fortune, et ont subi un voyage très éprouvant dans des conditions terribles. Pape Omar explique que son périple a duré 12 jours avant d’atteindre les Iles Canaries, avec 110 personnes à bord, enfants et adultes confondues, qu’il y avait très peu de ravitaillement sous un soleil de plomb. On comprend à travers ce texte que le choix n’est pas laissé aux enfants, ce sont leurs familles qui prennent la décision de l’immigration, ses familles pauvres poussé par idéalisme de l’Europe pense pouvoir fuir la pauvreté ou même souvent, juste pour pouvoir subvenir aux besoins de la famille en envoyant leurs enfants travailler hors du pays.

Seulement, la désillusion les rattrapent vites  puisqu’aux Iles Canaries, aux même titre que les pays Européens, la loi interdit aux mineurs de travailler.  A leurs arrivé les enfants clandestins sont donc escorter dans l’ancien camp de redressement,  l’école du Hogar, à la Esperanza, tout spécialement aménager pour les accueillir.

Dans cet établissement les jeunes sont nourris, logé  et apprennent à parler l’espagnole, puisque la loi Espagnol interdit le rapatriement de mineur dans leurs pays d’origine. L’état offre à ses enfants une aide thérapeutique pour les aidés à se débarrassé des images, des souvenirs traumatisants que leurs à laisser la traversé afin de leurs permettre un avenir meilleur.

Le texte est accompagné d’un document iconographique, une carte représentant une partie de l’Afrique du Nord, avec la localisation du Sénégal et l’Europe où il est indiqué les Iles Canaries.  Elle nous permet de tracé le parcours effectuer par les enfants dans la petite pirogue, et on voit que les Iles Canaries sont la plus proche enclave européenne du Sénégal.

  1. Document 2.

Le document 2 « Le Cap », est un document iconographique de genre non-littéraire. Il renvoi un intérêt symbolique, c’est la photographie d’une fresque faite par des enfants d’Afrique du sud de la ville du Cap. Cette photographie a été prise par Elisabeth Deliry Antheaume en 1998.

La fresque est le fruit d’un travail scolaire, dont le sujet été pour les enfants d’exprimer par le dessin ce qu’évoquer pour eux les droits de l’enfant.

A l’issue de ce travail plusieurs messages ont été inscrit : « droit à l’éducation pour un avenir radieux » , « liberté de parole », « non aux abus sexuels », « non aux drogues », « ne laissez pas emprisonner les enfants », « dites non au viol des enfants », « arrêter d’abuser sexuellement des enfants »,  qui sont tous des messages forts et qui exprime la prise de conscience  qu’on les enfants en Afrique du sud alors qu’il ne sont qu’en classe de primaire. En 1998, cela fait tout juste 4 ans que l’Apartheid a pris fin (1994) et cette intolérance sociale se fais encore ressentir dans les dessins cependant, on peut voir un grand soleil signe de lumière et d’espoir qui laisse entrevoir des jours meilleurs. Il y a un enfant noir emprisonné au même titre qu’un adulte, les enfants ont conscience de la ségrégation raciale  qu’il y a eu dans leurs pays, et on voit la fin de celle-ci marqué par le dessin de l’homme qui dit « stop » de ses mains. Au centre, vêtu de couleur blanche, signe de pureté, d’innocence, de chasteté et de paix un enfant devant un ordinateur, qui connote l’accès à l’éducation, l’information, les connaissances et la modernité.

Les deux autres enfants ont des expressions du visage positive, ils sourient, et sont sous le soleil avec des fleurs symbole de sérénité, jeunesse, et d’ouverture à la vie.

  1. Document 3.

Le document 3, « La pette » est un article tirer du magazine Télérama, magazine de programme TV. Ce texte est de type informatif, il nous renseigne sur le film « La petite »

 Ce film à pour thème la prostitution enfantine aux Etats Unis en 1917.  

Il nous fait part de l’histoire de Violet, 12 ans, prostitué dans une maison close de la Nouvelle Orléans. Il nous trace le destin inévitable de cette fille de prostitué dont la virginité est vendue aux enchères par sa mère lors d’une soirée pour 400 dollars, et monnaye donc sans scrupule l’intimité de ca petite fille de 12 ans.  

Le prénom de l’héroïne, n’as pas été choisi au hasard, Violet est le nom d’une fleur, la violette est le symbole de la simplicité et la pudeur, ce qui ne correspond pas du tout à l’héroïne mais à toutes les filles de 12ans.

Aussi, le lieu où se déroule l’histoire de Violet est un point important, en effet, la Nouvelle-Orléans est connu pour avoir été à cette époque, le lieu de tous les excès : alcool, jeux, prostitution. Et également le berceau du Jazz, musique Afro-Américaine, qui laisse connoté la pauvreté du lieu, puisqu’on le sait les Etats-Unis comme la plus part des pays du monde à cette époque ont été investigateur de la ségrégation raciale. Aussi, on peut voir la ségrégation sociale, marqué par cette niche de pauvreté dans ce secteur, comme si le destin des personnes y vivant été inévitablement destiné  à la souffrance et la pauvreté et qu’aucune issue possible ne leurs été donner pour sortir de la misère. C’est d’ailleurs ce que l’on cherche à nous faire ressentir puisqu’on nous présente les faits avec une normalité effrayante. Le document iconographique nous le prouve bien, on y voit Violet assise sur un lit, vêtue d’un déshabillé de femme. Elle n’a pas l’air triste, et on la voit belle et féminine telle une femme, alors qu’elle n’as que 12 ans.  On ne sent pas de malaise, ce qui marque la banalité des faits.

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