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Culture Générale D1 CNED Bts Tourisme, les catastrophes naturelles

Dissertation : Culture Générale D1 CNED Bts Tourisme, les catastrophes naturelles. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  27 Février 2018  •  Dissertation  •  1 394 Mots (6 Pages)  •  1 037 Vues

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Les catastrophes naturelles, évènements d’origine naturel ou atrophique subi par les populations de manière brutal pouvant amener de nombreux dégâts, tout aussi bien humain que matériel. Elles se caractérisent sous différentes formes : inondation, coulée de boue, tremblement de terre, avalanche, sécheresse, ... L’homme n’en est pas le responsable mais suite à la lecture de nos documents nous pouvons nous demander s’il n’en est pas un facteur déclenchant ?

Le corpus nous décrit et interprète de différentes manières ces catastrophes. Dans le premier document on retrouve un article de magasine, nommé « Penser nos catastrophes » publié dans Le Portique no 22, paru en 2008 et rédigé par F.Bussy. Celui-ci retranscrit l’image que la population se fait de ces phénomènes. Dans le deuxième document on retrouve encore un article du magasine Les Grands dossiers de sciences humaines, nommé « Les catastrophes naturelles n’existent pas » no 33, publié en 2014 par R.-E. Dagorn. Dans cet article l’auteur nous donne son point de vue dans lequel les catastrophes naturelles n’existent pas, selon lui les aléas naturels et les dommages qu’ils entrainent ne sont que l’objet de la société. Le troisième document, rejoins c’est idée par le biais d’un extrait du poème de Voltaire nommé « le désastre de Lisbonne » paru en 1756, dans lequel l’auteur prend comme exemple la ville de Lisbonne victime d’une catastrophe naturelle et dégage l’indifférence d’autres pays face aux malheurs des habitants de la ville durant cette catastrophe. Ensuite le corpus se fini avec une photographie, « le village de Bento-Rodrigues » parue le 6 novembre dans le journal Le Monde où on nous décrit la violence d’un tsunami de déchets miniers boueux qui a touché le petit village Brésilien, Bento-Rodrigues.

Suite à la lecture du corpus, nous pouvons nous demander si les catastrophes naturelles ne sont pas dû à l’impact négatif de l’homme sur la terre ou si l’homme n’en ait pas l’un des responsables ?

Pour répondre à cette interrogation nous commencerons dans un premier temps par une description des catastrophes naturelles en elle-même, puis dans un second temps la manière par laquelle l’homme intervient face à ces catastrophes.

Autrefois, les catastrophes naturelles étaient vues par la population comme une colère divine, une révolte de la puissante nature, une rupture entre un droit et un fait, une norme et sa violation. De nos jours, cette vision des choses est révolue, les catastrophes sont maintenant synonymes de violence, destruction, malheur et souvent mort.

F.Bussy dans son article « Penser nos catastrophes », dévoile qu’il existe en son sens deux genres de catastrophes : les ancestrales et les contemporaines. Les catastrophes ancestrales seraient des tragédies dépendantes des aléas de la nature et les catastrophes contemporaines seraient des drames causés par l’impact des hommes sur la nature. Elles seraient alors différentes par leur source mais identique dans la dévastation et le chaos qu’elles infligent à chacune de leurs apparitions. On les retrouve sous la forme de tsunami, séismes, tremblements de terre, canicules, ... pouvant s’abattre sur tout être vivant du monde.

Pour F.Bussy, ces tragédies sont d’origines naturelles mais sont également dû à l’action humaine, un facteur important dans l’exécution de ses drames. Toujours selon F.Bussy, les catastrophes naturelles sont guises de menaces et de prévisions pour les générations futures. On retrouve cette idée dans l’article du journal « Le Monde » où on y décrit les éléments déclencheurs de ses catastrophes comme des consommations et des productions massives de déchets et de produits néfastes pour l’environnement. Ce qui à long terme provoque ces fameuses catastrophes naturelles. On peut dire que l’humanité ne se développe qu’en détruisant son propre milieu de vie et en hypothéquant son avenir.

Les catastrophes naturelles ont un impact parfois minime ou des plus violent, fessant à chacun de ces passages de nombreuses victimes. On retrouve cette violence dans le poème de Voltaire lors duquel il nous décrit le tremblement de terre vécu à Lisbonne en 1756. Dans celui-ci, Voltaire vient à comparer ce tremblement de terre à un acte divinatoire où Dieu se venge de tous les crimes des humains en les nommant « malheureux mortels » où « des femmes et des enfants entassés les uns sur des autres » par lesquels il développe que Dieu

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