LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Contrôle de gestion Cas Galvor

Étude de cas : Contrôle de gestion Cas Galvor. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  21 Septembre 2016  •  Étude de cas  •  489 Mots (2 Pages)  •  1 181 Vues

Page 1 sur 2

Cas Galvor

1- Les changements de dimension du contrôle de gestion lorsqu’on passe de Galvor PME indépendante à Galvor filiale dans un grand groupe sont :

  • Standardisation des procédés avec un nouveau système d’information appelé « système complet de rapport financier » à intégrer. Rendre les mêmes formulaires, les mêmes plans comptables ;
  • Formalisation opérationnelle (la formalisation des outils), formalisation de la fonction (sa définition, ses procédures, etc.) ;
  • Un plus grand nombre d’interlocuteur à qui rendre des comptes ;
  • Une vision à long terme pour chacune des unités opérationnelles avec des objectifs, programmes et actions à mettre en œuvre. Ces informations devront être précises, détaillées, fiables et pertinentes ;
  • Le service contrôle de gestion doit préparer son plan à long terme en prenant en compte celui prédéfini par la direction au niveau global puis il doit y apporter des modifications si besoin en fonction des discussions avec le siège ;
  • Une centralisation des données avec un grand nombre de rapports, de nouveaux indicateurs de performances à fournir au siège social -> alourdissement de la charge de travail (temps et argent).

2- La formalisation chez Galvor est nécessaire car il faut que les filiales aient les mêmes indicateurs, outils et procédures afin d’avoir une vision plus claire au niveau macro-économique. Cela permet donc une meilleure centralisation au niveau de la direction. Ils peuvent ainsi prendre des décisions plus facilement comparant les budgets entre filiales ou non, voir ce qu’il ne va pas au niveau des performances et mettre en place les mesures nécessaires afin de résoudre le problème.

Cependant, ils n’ont pas tous les moyens humains et le temps nécessaire pour pouvoir accomplir ces tâches ce qui alourdit énormément leur charge de travail et peut nuire à la formalisation. De plus, la direction peut avoir des explications concernant les écarts qui ne reflètent pas la réalité du point de vu de la filiale. La direction pourrait donc prendre des décisions qu’elle estime juste au niveau macro mais qui peut être difficilement réalisable d’un point de vu micro (restriction de budget, de personnel, nouveau procédé, …).

3- Les relations entre Galvor et le siège à Genève sont compliqués car la première ne considère pas avoir le nombre d’employés nécessaires pour respecter le nouveau système imposé par la deuxième. De plus, un grand nombre de différences entre ces deux entités complexifies le travail demandé (les rapports en anglais, la conversion euro/dollars). Ce qui rend inexploitable au niveau local les rapports destinés à Universal.

Pour finir, Galvor étant une petite filiale, le siège ne lui accorde pas beaucoup de temps et d’assistance à moins d’écarts importants. Le contrôleur de gestion entre les deux doit alors agir en tant que médiateur entre les deux entités. Il doit faire remonter les rapports qu’il a vérifiés et validés auparavant et aider la filiale en cas de difficultés ou d’écarts.

...

Télécharger au format  txt (3.1 Kb)   pdf (57.1 Kb)   docx (9.4 Kb)  
Voir 1 page de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com