Comment Montesquieu met-il en avant la vitesse des français ?

Levy Noah

2 BTS SIO ALT

Culture Générale

Question 1 : Comment Montesquieu met-il en avant la vitesse des français ?

Montesquieu met en avant la vitesse des Français en comparant leurs vitesses à celle d’autre lieu comme l’Asie : « les voitures lentes d’Asie » ou d’autre choses comme : « le pas réglé de nos chameaux, les feraient tomber en syncope. »

Il met également la vitesse des français en avant en montrant comme quoi les autres (qui ne sont pas français) ne suivent pas le rythme : «je n’ai pas fait cent pas, que je suis plus brisé que si j’avais fait dix lieues ».

Question 2 : Relever les expressions autour du verbe « courir » et donner leurs définitions.  À quoi la course est-elle associée dans le sketch ?

« Je viens de traverser une ville où tout le monde courait » où tout le monde étaient presser

« Je l'ai traversée en courant. […] mais quand j'ai vu que tout le monde courait... je me suis mis à courir… » il le fait très vite

« Courais au coude-à-coude »il avançait au même niveau

« Courent-ils comme des fous » courent ils très vite

« Des bruits ont couru ! » des rumeurs ont circuler

« Courent au plus pressé » Se dépêcher de réaliser ce qui est le plus urgent

“Court à sa perte ! “ se mettre en danger

« Moi, j’expédie les affaires courantes » je fais mes affaires habituelles le plus rapide possible, limite en les bâchant un peu.

La course est associée à la vitesse, à la rapidité dans le sketch. « Le temps c’est de l’argent. »

Question 3 : Relever les expressions autour du verbe « marcher » et donner leurs définitions. A quoi la course est-elle associée dans le sketch ?

« Marche de protestation » ralentir le geste pour protester la course quotidienne

« Je marchais normalement, » effet d’être normal

« Affaire ne marchent pas » double sens ici en parlant de l’action marcher =/= courir, mais aussi au sens de fonctionner.

« Leur marché en marchant » la même racine des deux mots

La marche est associée à la lenteur mais également aux faits de faire les choses normalement. 

Question 4 : Deux siècles séparent ces textes, pourtant ils semblent se faire écho. Que dénoncent-ils de la civilisation urbaine ?

Les deux textes dénoncent une rapidité excessive de la civilisation urbaine : les gens vont tellement vite de la civilisation urbaine vont tellement vite qu’ils ne font pas attention au reste du monde et ont rendu normal le fait de courir tout le temps alors que ce n’est pas la manière naturelle.

Doc 1 « mais je ne puis pardonner les coups de coude que je reçois régulièrement et périodiquement »

 Doc 2 : « A un moment je courais au coude à coude avec un monsieur… »

Les gens vont tellement vite qu’ils n’arrivent même plus eux même à suivre la cadence et ont peur de se faire dépasser par le monde

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