Calculer le résultat d'un exercice

Marge Commerciale : Il s’agit d’une entreprise de négoce. On voit que, par rapport à l’année passée, la marge commerciale a beaucoup augmentée. Il représente de 242%. Le volume de l’activité a fortement augmenté. L’augmentation de la marge commerciale est liée principalement à l’augmentation de la vente par rapport à l’année N-1.

Valeur ajouté : Pour l’année N l’entreprise a créé 68% (VA/CA) de la VA. L’entreprise utilise de la main d’œuvre pour créer de la richesse. On peut constater que quand l’entreprise vend 100 euro de produit, il ajoute 68 euro de VA. Une fois que VA a crée, il est essentiel de le conserver, on voit que l’entreprise par rapport au l’année n-1 a perdu 6,8%. L’entreprise a fait l’appel au consommation en provenance des tiers(consommatio externe) et que cet volume de consommation réalisées auprès de fournisseurs extérieurs de l’entreprise a augmenté dans l’année N, d’où l’impact sur VA.

R.B.E : C’est une solde financier géneré par l’exploitation. Pour l’année N l’entreprise a realisé 49% de RBE sans tenir compte de politique investissment et financmenet. Ca montre la creation de la richesse de l’entreprise. La dimiution est dû à l’augmentation des facteurs comme Impôts et taxes puisque l’année N-1 l’entreprise avait fait un bénéfice de 2 461 378.

Résultat d’exploitation : Par rapport à l’année N-1, une diminution de 10,56% de RE s’est passée. C’est presque pareil que celle de RBE . Mais il y a quelques points importants :

1. Les autres charges ont augmenté entre N-1 et N, mais celles de l’année N apporte plus de autres produits, c’est-à-dire les autres charges de l’année N est plus ‘efficaces’.

2. La dotation de la dépréciation de l’actif circulant a diminué remarquablement et la reprise sur dépréciation, amortissement, provision a augmenté en N. Nous concluons que la dépréciation (amortissement) existante est beaucoup plus grande que celle nécessaire en N.

Résultat courant avant impôt : Ce RCAi est un peu plus important que RE en valeur absolue. Car entre N et N-1, il y a une sous-performance sur les activités financière. Plus concret, nous voyons que la reprise sur dépréciation et provision, transfert de charges a fortement augmenté mais cette augmentation a été mangée principalement par la dotation aux amortissements, dépréciations et provisions et par les différences négatives de change.

L’analyse de résultat exceptionnel : La production exceptionnelle a diminué par rapport l’année N-1. Parmi les composants des produits exceptionnels, la diminution sur opération de gestion est le plus évident. De 553415 en l’année N-1 à740 en l’année N, soit une réduction de 99.87%.

Par contre, il y a une forte augmentation des charges exceptionnelles dans l’année N, soit une augmentation de 128.37%. Parmi eux, la plus évidente augmentation est sur l’aspect de dotation aux amortissements, dépréciation et prévision, soit de 212,4%. C’est-à-dire que soit les outils et les matériaux pour maintenir les activités de l’entreprise ont beaucoup amortis ou dépréciés, soit pour l’année N+1 il y aura une provision importante.

L’analyse de résultat de l'exercice : Pour l’année N-1 et l’année N, les résultats de l’exercice sont positifs, les produits étant

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