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« Au sujet d’un enfant monstrueux » Montaigne 1595, Les Essais, livre II

Commentaire de texte : « Au sujet d’un enfant monstrueux » Montaigne 1595, Les Essais, livre II. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  31 Janvier 2015  •  Commentaire de texte  •  742 Mots (3 Pages)  •  1 121 Vues

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Séquence 1 Texte 2

« Au sujet d’un enfant monstrueux » Montaigne 1595, Les Essais, livre II

Passage du concret à l’abstrait.

« Je vis » expérience vécu, témoignage visuel ce qui nous semble vrai.

Description d’un enfant : auteur passe du banal pour montrer peu à peu qu’il a des éléments qui ne sont pas banals. Montaigne veut montrer que malgré la malformation, il reste tout de même humain.

« D’une forme ordinaire » l.4 , «  il se soutenait sur ses pieds » l.4, « comme les autres enfants » l.5 comparaison. « Marchait », « soutenait », « gazouillait » l.4-5 verbes d’action. « 14 mois » l.6-7

« Etrangeté » l.3, « particulier » l.6, « a peut près » L.5 groupe prépositionnel.

Il n’utilise pas le terme monstre.

Ligne 7 à 11 :

« Au dessus » l.7 Groupe prépositionnel, «  face à face » l.10

Description objective, aspect scientifique.

1er partie de la description : Montaigne souligne l’humanité de l’enfant

2eme partie : aspect scientifique ; justification du bras plus petit que l’autre « car »… Ça apporte une caution à l’humanité de cette enfant afin que l’on ne le désigne pas en tant que monstre.

C’est un enfant siamois.

Montaigne ne veut pas qu’on l’accuse de donner sa propre vision mais surtout il refuse la notion de monstruosité.

2eme paragraphe :

« Nous » l.12 Montaigne et les autres hommes. Il ne veut pas imposer sa parole, pas passer pour celui qui a raison.

L.12 a 15 : répétition de « forme’ substitue le mot ‘monstre’ avec « forme » normalisé ce que les autres appelle « monstre »

Oppose Dieu et les Hommes : Dieu du côté des formes, Dieu créateur comprend toutes les formes : « immensité »l.13, « infinité » l.13

Dieu : créateur absolu qui a un grand savoir.

L’homme : connaissance limité : « inconnu » l.15

Dieu : « parfaite sagesse »L.16 hyperbole mise en avant du mot sagesse. Dieu ne dit pas « monstre »

Ligne 18 citation Cicéron, homme d’état et auteur romain du IIe siècle av Jc. Symétrie entre les deux phrases et argument d’autorité.

l.23 litote « il n’y a rien, quoi que ce puisse être, qui ne soit pas selon la nature. » il utilise la négation pour renforcer sa véritable pensée : tout est naturel. Le monstre devient un être humain. On ne peut nier son humanité.

l.24-25 Réaction à cause de la peur de l’inconnu. Montaigne accepte la différence, nous invite à adopter une démarche humaniste, invite à ne pas juger, à réfléchir par soit même.

Séquence 1 Texte 3

L’homme qui rit Victor Hugo,1869

« Nature » revient souvent dans les 2 paragraphes. Nature remise en question.

La responsabilité de la monstruosité de Gwynplaine n’est pas la nature contre toute attente.

1er enjeux : le texte s’ouvre sur un éloge ironique

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