Analyse du 1er Trimestre 2013 : défaillances Et Sauvegardes D'entreprises En France
Commentaire d'arrêt : Analyse du 1er Trimestre 2013 : défaillances Et Sauvegardes D'entreprises En France. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar eport72 • 7 Mars 2015 • Commentaire d'arrêt • 2 145 Mots (9 Pages) • 676 Vues
Altares est un acteur de référence des services aux entreprises. Il fournit à ses clients des solutions
pour accélérer leur croissance dans deux axes majeurs :
développement commercial et gestion du risque financier en France, en Europe et à l’international.
Altares propose depuis début 2005 deux cycles d’analyses trimestrielles, dans deux domaines spécifiques
de la connaissance interentreprises, liés aux échanges économiques :
• les défaillances d’entreprises en France, complétées par les sauvegardes depuis l’entrée en vigueur
de la loi au 1er janvier 2006
• les retards de paiement en Europe
Pour chacun de ces thèmes, Altares publie chaque trimestre une synthèse et une analyse des évolutions
de tendance ; un bilan semestriel et un bilan annuel viennent compléter chaque cycle d’analyses trimestrielles.
Ces analyses sont disponibles sur simple demande aux contacts ci-dessous, et font l’objet d’un envoi par mail,
dès parution. Elles sont de plus systématiquement consultables en ligne, sur le site www.altares.fr
et peuvent être téléchargées au format PDF.
Date de publicati on : MARdi 23 AVRIL 2013
ALTARES
55 avenue des Champs Pierreux
Immeuble Le Capitole
92012 Nanterre
contact@altares.fr
Tél : 01 41 37 51 04 – Fax : 01 41 37 50 01
www.altares.fr
Responsable des études
Thierry Millon
Tél : 04 72 65 15 51
RELATIONS PRESSE : Agence Conne cto
Aurélie Botbol
aurelie.botbol@agenceconnecto.com
Madly Schenin-King
madly.schenin-king@agenceconnecto.com
Tél : +33(0)9 62 16 07 83
9 rue François Coppée
92240 Malakoff - France
www.agenceconnecto.com
nanterre , le MARDI 23 AVRIL 2013
dÉfai llances et sauvegardes d’entreprises : l’analyse TRIMESTRIelle D’altares
LES DÉFAILLANCES D’ENTREPRISES EN LÉGER
RECUL AU 1er TRIMESTRE 2013 (- 1,8 %).
Au-delà de 50 salariés, les PME restent fragilisées (+ 12 %)
mais près de 9 sur 10 échappent à la liquidation immédiate.
Le nombre de défaillances d’entreprises comptabilisées au cours du premier trimestre 2013 reste
bloqué au-dessus du seuil des 16 000 procédures franchi depuis 2009. 11 258 LJ directes, 4 642 RJ
et 411 sauvegardes ont été ouvertes, soit un volume global de 16 300 en léger recul (- 1,8 %) par
rapport au premier trimestre 2012.
Cette baisse des défaillances d’entreprises est tirée par la bonne tendance (- 12 %) des microentreprises
sans salarié qui concentrent environ 40 % des jugements. En revanche, les défaillances
TPE de 1 à 9 salariés sont en nette augmentation, (+ 7 %) et les PME de plus de 50 salariés davantage
encore (+ 12 %) après un premier trimestre 2012 qui était déjà lourdement orienté (+ 14 %).
Nombre de défaillances d’entreprises par type de procédure par trimestre (situation au 8 avril de chaque année)
1er trimestre
2011
1er trimestre
2012
1er trimestre
2013
Évolution
2013/2012
Sauvegardes 322 343 411 19,8 %
Redressements Judiciaires 4 966 4 899 4 641 - 5,3 %
Liquidations Judiciaires directes 11 160 11 368 11 258 - 1,0 %
TOTAL FRANCE 16 448 16 610 16 310 - 1,8 %
Dont sociétés de plus de 50 salariés 122 139 156 12,2 %
Ensemble emplois menacés 57 800 63 370 62 930 - 0,7 %
>
RELATIONS PRESSE : Agence Conne cto
Aurélie Botbol : aurelie.botbol@agenceconnecto.com - Madly Schenin-King : madly.schenin-king@agenceconnecto.com
9 rue François Coppée - 92240 Malakoff - France
Tél : +33(0)9 62 16 07 83 • www.agenceconnecto.com
pan orama
généra l
3/22
nanterre , le MARDI 23 AVRIL 2013
La création en berne oriente les défaillances d’entreprises à la baisse. Les PME anticipent mieux
mais restent fragiles.
Les structures sans salarié semblent mieux résister que les autres. Un peu plus de 6 000 micro-entreprises sans effectif ont
défailli ce début d’année 2013, soit 12 % de moins qu’il y a un an. Dans une conjoncture qui fragilise pourtant l’ensemble des
entreprises, cette catégorie parvient à négocier les trous d’air ponctuels mieux que ne peuvent le faire les autres entreprises
contraintes à devoir toujours disposer d’une trésorerie régulière et suffisante pour pouvoir notamment verser les salaires.
...