Analyse D'un Article De Presse: le délicieux supplice de la dictée

Exposé : « le délicieux supplice de la dictée »

Cet article est tiré de la revue la plume N◦17, parue en novembre, 2012. Il a pour titre « le délicieux supplice de la dictée ». C’est un titre nominal, énigmatique, assez long et incitatif (un oxymore). « Délicieux » et « supplice » sont deux mots en apparence contradictoires. Cet article, dont le thème est la passion et la détestation des Français pour l’orthographe française, se situe dans la rubrique culturelle et sociale. Dans un premier temps, l’auteur explique la détestation de l’orthographe chez les Français. Mais il met ensuite en lumière leur passion de l’orthographe. Finalement, il nous incite à réfléchir sur la question de la réforme de l’orthographe.

D’une part, biens des gens ont une perception négative de l’orthographe. Due à son abondance de termes négatifs, l’orthographe est présentée comme un tyran. En outre, elle est le cauchemar des écoliers ainsi que des adultes à cause de sa complexité, son archaïsme et son illogisme, néanmoins elle se répercute fortement sur l’impression.

D’une autre part, un grand nombre des Français ont une perception positive d’elle. Paradoxalement, ils conviennent d’un amour croissant pour la dictée et d’un hommage à leur langue, comme de populaires championnats avec Bernard Pivot. De plus, bien que le tyran de l’orthographe soit craint, il est aussi très aimé et respecté. Les Français y « se confrontent avec plaisir ».

En dehors de cela, nous devons réfléchir sur la question de la réforme de l’orthographe. Puisque la langue française est difficile, les pouvoirs publics ont fait certaines tentatives de réforme (celle de 1990 en particulier) pour la simplifier. On entend actuellement en France des débats passionnés, et même passionnants, des voix pour, des voix contre.

En résumé, l’orthographe française est à la fois autoritaire et respectable, difficile et charmante. D’après moi, la langue française est belle et séduisante, mais quelquefois, je m’échine à répérer et à apprivoiser son orthographe. Donc, je suis favorable à ces réformes, à condition qu’elles soient rationnellement élaborées et exécutées.

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