14 principes généraux d’administration de Henri Fayol.

Il y a plusieurs années, Henri Fayol proposait 14 principes généraux d’administration. Chez «Sécuriplus», il y a des principes administratifs qui correspondent et d’autres qui ne correspondent pas. En premier lieu, les principes correspondants seront identifiés, ensuite ceux qui ne correspondent pas.

En utilisant l’organigramme en figure 1, nous pouvons identifier facilement plusieurs principes qui correspondent à l’œuvre de Fayol : la division du travail, l’unité de commandement, l’unité de direction, le degré de centralisation et la hiérarchie.

La division du travail, dans le service administratif de la division médicale il y a des spécialistes : conseiller aux affaires juridiques, préposés au courrier, analystes, etc. Chacun à sa propre fonction, «ce qui permet aux membres d’exercer des compétences dans un domaine particulier; » Ce qui rend les spécialistes plus productifs.

L’unité de commandement est appliquée dans l’entreprise, il y a un directeur pour chaque service : administratifs, ventes réclamations des médicaments et réclamation des soins dentaires. Il y a un chef par secteur d’activités, ce qui caractérise bien ce principe.

L’unité de direction est définie, car chaque groupe d’employés relève d’un seul responsable visant le même but.

Le degré de centralisation est démontré, il n’y a pas beaucoup de niveau hiérarchique ce qui favorise des décisions directes entre employés. Selon moi, la centralisation a pour effet que seule la vision du patron compte.

La hiérarchie, est le dernier principe identifié avec l’organigramme. Il y a des niveaux hiérarchiques. Chaque personne connaît sa position dans la hiérarchie de l’entreprise. Les ordres et les informations suivent la ligne hiérarchique.

La discipline est présente avec la figure 2. Celle-ci démontre qu’il y a une procédure interne pour le cheminement des réclamations sur les médicaments. Également, il y a une discipline d’activités, chaque jour, à 11 h, il y a un premier tri. À 14 h, un deuxième tri. Après une séparation des réclamations en trois catégories est effectuée. Dans ce cas, la convention explicite est appliquée. Aussi, j’identifie un défaut de discipline lorsque M. Blanchette déclare « Je me demande parfois si ces gens m’écoutent vraiment. » L’entente entre chef et subordonnés laisse à désirer. Dans ce cas, la remarque de Fayol est très appropriée, lorsqu’il affirme « [...] il ne faut point se borner à en rejeter négligemment la responsabilité sur le mauvais état de la troupe; la plupart du temps, le mal résulte de l’incapacité des chefs. »

La stabilité du personnel, nous pouvons présumer qu’il y a une stabilité pour les commis aux réclamations en me basant sur une conversation de monsieur Blanchette et de Marie-Line Briens : « Elle a trois ans d’expérience dans ce métier. Je lui ai dit : «Marie-Line, tu as autant d’expérience que tout le monde ici, pourquoi est-ce que tu te plantes aussi souvent?».

L’autorité et la responsabilité, ce principe correspond en partie dans ce cas. Monsieur Blanchette se dégage de ses responsabilités lorsqu’il mentionne : «S’ils prenaient leurs responsabilités à cœur, les choses iraient

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