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Montrez, à l’aide des extraits choisis, quelles sont les figures d’autorité critiquées par Voltaire dans Candide ou l’Optimisme.

Étude de cas : Montrez, à l’aide des extraits choisis, quelles sont les figures d’autorité critiquées par Voltaire dans Candide ou l’Optimisme.. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  20 Juin 2022  •  Étude de cas  •  1 183 Mots (5 Pages)  •  317 Vues

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Sujet de rédaction : Montrez, à l’aide des extraits choisis, quelles sont les figures d’autorité critiquées par Voltaire dans Candide ou l’Optimisme.

Extraits à l'étude: Chapitres 1-6-18-23-30

Introduction

Après le règne de Louis XIV qui s’est terminé à la suite de sa mort en 1715. La France s’est retrouvée libéré de l’extrême austérité développée sous le règne du roi soleil. C’est ainsi qu’a eu lieu un relâchement des noceurs, une nouvelle sensibilité et un désir des hommes de reprendre la parole après des années de silence. Le XVIIIème siècle a été nommée le siècle des lumières, car il était soutenu par plusieurs thèmes comme la passion, la recherche du bonheur, la raison etc. la littérature de cette époque était riche en roman, conte et conte philosophique. Voltaire a été l’un des plus grands noms à être retenue durant ce siècle, notamment avec son conte philosophique Candide publié en 1759. De ce fait a travers une argumentation détailler et illustrer d’exemple il s’agira de montrer que la noblesse et la religion sont critiquer par Voltaire.

Idee principal 1: les religieux

Idée secondaire 1 : l’intolérance de la religion

Citation : après le tremblement de terre à Lisbonne les sages ont décidé de faire une auto-da-fé dans le but d’éviter un autre tremblement de terre de ce fait ils ont décidé de : « Saisir un Biscayen convaincu d’avoir épousé sa commère, et deux portugais qui en mangeant du poulet en avaient arraché le lard […] Candide fut fesse en cadence […] le Biscayen et les deux hommes […] furent brules, et Pangloss fut pendu, quoique ce ne soit pas la coutume. » (P24; L377- L392).

Explication : l’auteur passe par une énumération à connotation négative ce passage le montre bien « Candide fut fesse en cadence […] le Biscayen et les deux hommes […] furent brules, et Pangloss fut pendu, quoique ce ne soit pas la coutume. » par cette illustration Voltaire montre l’extrême intolérance de l’inquisition : si tout catholique ne respecte pas les dogmes religieux ceci résulte d’une hérésie et sont traiter en tant que tel. Cette hérésie peut être perçu par l’exemple des Portugais, qui catholiques, adoptent des mœurs culinaires juives et en subisse les conséquences (sont brûlés, pendus)

Idée secondaire 2 :  la dissidence religieuse

Citation : Candide qui voulait toujours en savoir plus demanda à son compagnon de route Cacambo de poser la question de savoir au vieillard s’il avait une religion, le vieillard répondit choquée : « “Comment donc! dit-il; en pouvez-vous douter? Est-ce que vous nous prenez pour des ingrats?’’ […] Candide eut la curiosité de voir des prêtres; il fit demander ou ils étaient. Le bon vieillard sourit […] Quoi! N’avez-vous point moines qui enseignent, qui disputent, qui gouvernent, qui cabalent, et qui font bruler les gens qui ne sont pas de leur avis? » (P58-59; L1321-1340)

Explication : ici l’auteur fait une comparaison entre le monde d’où vient Candide et le pays d’Eldorado par la phrase « N’avez-vous point moines qui enseignent, qui disputent, qui gouvernent, qui cabalent, et qui font bruler les gens qui ne sont pas de leur avis? » l’illustre très bien car il met à jour les différents tard de la religion du pays d’où il vient. Celui-ci voyant que c’est pas du tout pareil s’esclame « Quoi! » cette exclamation montre la stupéfaction de Candide face a ce que le vieillard vient de le révéler.

Conclusion partielle :

Transition :

Idee principal 2: les nobles

Idée secondaire 1 : les valeurs superficielles de la noblesse

Citation : elle est bien montrée par ce passage qui présente le baron comme quelqu’un de ridicule : « Monsieur le baron était un des plus puisant seigneurs de la Westphalie, car son château avait une porte et de fenêtre. Sa grande salle était ornée de deux tapisserie […]; le vicaire du village était son grand aumônier. Ils l’appelaient tous Monseigneur et ils riaient quand il fessait des contes. » (P9; L11-L16)

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