Thème 4 Relance (Crise, Cycle Et Gouvernance)
Note de Recherches : Thème 4 Relance (Crise, Cycle Et Gouvernance). Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 18 Mars 2013 • 1 379 Mots (6 Pages) • 721 Vues
{ Intro et conclu inventé, je sais pas du tout si c’est bon Lol}
Après la crise, l’Union européenne a connue un cycle de dépression très dur à surmonter. Il a fallu des plans de relance, ainsi que repenser la gouvernance européenne. Depuis 2009, la croissance européenne est en train de remonter lentement, grâce impulsions budgétaires de l’UE.
Comment régulariser le cycle européen?
Comment régulariser le cycle européen?
Quelle doit être l’intervention de l’Union? Y a-t-il des modalités plus efficaces que d’autres?
1. Avec les stabilisateurs automatiques
Un cycle est composé d’expansions qui se produisent à peu près en même temps dans de nombreuses branches, suivies de récessions, décontractions et de reprises tout aussi généralisées qui se rejoignent dans la phase d’expansion du cycle suivant. Cette suite de variations est récurrente mais non périodique. La durée des cycles des affaires varie de un à dix ou douze ans; ils ne sont pas divisibles en cycles plus courts de même nature avec des amplitudes du même ordre.»
•Cette définition souligne l’irrégularité du processus de croissance.
•Le cycle est récurrent, ce qui signifie une répétition de la séquence passée.
•L’absence de périodicité signifie qu’il ne se reproduit pas à intervalles réguliers.
Les cycles se caractérisent par : l’irrégularité du processus de croissance, la récurrence, (une répétition de la séquence passée) mais elle est non périodique puisque il ne se reproduit pas à intervalles réguliers.
Les stabilisateurs automatiques : mécanisme économique ayant une activité régulatrice, passive, et anticyclique
Face à une récession un gouvernement peut très bien ne rien faire…( ??)
1. La baisse de croissance de l’activité économique conduit à de moindres recettes fiscales et diminue le prélèvement sur les contribuables actifs.
2. Les dépenses de protection sociale ne fléchissent pas, au contraire, elles progressent en raison de la croissance des indemnisations (Chômage, aides sociales)
➢ Le déficit budgétaire se creuse puisque les dépenses progressent plus rapidement que les recettes.
➢ La stabilisation budgétaire est automatique….
Mais, cette politique est remise en cause par la plupart des pays industrialisés :
1. La baisse de la fiscalité directe (impôt sur le revenu).
2. Les dépenses de protection sociale sont contenues ou privatisées. Les indemnisations sont limitées dans le temps (Chômage, aides sociales).
Le déficit budgétaire ne peut plus s’accroître car on a fixé des bornes à son évolution: Pacte de stabilité et de croissance de 1997: 3%.
La stabilisation budgétaire est moins performante (effet limité des politiques contra-cycliques-Natixis)…
2. Réguler avec les modes de gouvernance dans l’Union européenne ( ? )
En dépit de cycles coordonnés, les politiques budgétaires ne le sont pas.
La gouvernance est assurée par l’ensemble des gouvernements. Les conseils européens adoptent des législations communes afin de transposer les directives européennes dans la législation nationale.
En instituant un fonds de soutien d’un montant de 440 milliards d’euros (750 milliards si on inclut les 60 milliards d’aides directes provenant du budget européen et les 250 milliards du Fonds monétaire international), la gouvernance européenne s’appuie maintenant aussi sur la solidarité financière directe entre les pays membres de l’Union monétaire. Actuellement, ce fonds est prévu pour 3 ans.
Les pays de l’Union réfléchissent à la mise en œuvre de mécanismes permettant de durcir la discipline budgétaire, ce qui pourrait renforcer la coordination et la surveillance des politiques économiques et budgétaires nationales. Par ailleurs, une autre proposition consiste à suspendre les droits de vote au Conseil européen des pays de l’UE laxistes en matière budgétaire.
Comment rendre le système durable et résistant face aux turbulences ? Proposition d’instauration d’un gouvernement économique institutionnalisé (sous forme d’un secrétariat), composé de dirigeants de la zone euro. Idée soutenue par la France, mais rencontre de vives résistances de l’Allemagne (qui préfère associer la gouvernance à la totalité des 27 pays l’UE).
Tout les pays ont choisi de garder leur souveraineté, notamment budgétaire, ce qui rend impossible l’existence d’un réel budget européen avec une fiscalité à la clé.
Quel doit être l’intervention de l’Union? Y a-t-il des modalités plus efficaces
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