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Les inégalités sociales : Le fléau des étudiants.

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Par   •  22 Mai 2022  •  Lettre type  •  561 Mots (3 Pages)  •  265 Vues

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Les Inégalités Scolaires: Le fléau des étudiants.

Les inégalités scolaires dans les écoles commencent à partir du collège, les étudiants de classes défavorisées n’ont pas accès aux écoles privées, et cela ce démontre dès la 6ème, car les parents, suivant leur niveau d’étude et leur métier, ne peuvent pas aider leur enfants.

Mais il y a encore des raisons: le niveau d’exigence augmente au collège, la taille des classes est trop importante pour que le professeur soit a la disposition de chaque élève, ce qui leur demande une certaine autonomie, qui peut être plus accessible pour les collégiens ayant des parents qui peuvent les aider grâce à leur niveau d’étude élevé ou grâce à un professeur privé. De plus, les parents sélectionnent des options, afin de permettre a leur enfant d’être accepté dans les meilleurs établissements.

Les enfants de catégorie défavorisé représente 41,7% tandis que les enfants de milieu très favorisé sont 19,7% dans les collèges généraux. Cependant, la catégorie d’étudiant provenant du milieu défavorisé diminue a 31% alors que à l’inverse, le milieu très favorisé augmente à 27,7% en seconde général et technologique. (Chiffre relevé en 2019)

Mais aussi, les enfants de cadres supérieurs et les enfants d’ouvriers ne représentent pas du tout le même niveau d’étude et ne vont pas tous dans les mêmes filières, on peut le constater en regardant les chiffres ci-dessous (pourcentage),

—»Les étudiants de classe défavorisée qui vont en CAP représente 38,3% tandis que les étudiants de classe favorisé représente 3,8%. On évoque aussi que 51,8% des enfants de cadres supérieurs vont jusqu’en classe prépa. tandis que les enfants d’ouvriers représentent 7,2%.

On peut donc en conclure que les enfants de classe défavorisée sont d’avantages nombreux dans les filières technologiques et professionnelles. 36,3% d’étudiants sont enfants d'ouvriers en BAC PRO et 38,3% d’enfants de milieu défavoriser sont en CAP tandis que 11,7% des étudiants d’université sont enfants de cadres.

Selon Raymond Boudon (1934-2013), les inégalités scolaires sont la conséquence des choix des élèves et des parents par rapport à l’orientation scolaire. Selon l’opinion de M.Boudon, les familles doivent évaluer les avantages et les coûts pour pouvoir choisir l’orientation d’étude de leur enfant. Les familles de milieux défavorisés sont influencées par la société ce qui provoque pour eux une fâcheuse tendance à surdimensionner les coûts pour leur enfant. Ils estiment approprié de réduire le temps des études.

Mais pour Pierre Bourdieu, (1930-2002) les inégalités scolaires sont dû à cause des écoles. Elles sont favorables aux catégories favorisées car ces classes ont la même culture transmise dans ces écoles : les compétences scolaires attendues sont donc plus accessibles par les enfants des étudiants favorisés, leur parcours scolaire sera mieux réussi.

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