Presentation du marche gris

Comme le montre les premières écritures mentionnant les breuvages alcoolisés et les fouilles archéologique attestant de l'usage du cannabis, de l'opium et du peyotl, il est établit que l'Homme a découvert les états de conscience modifiés -tout d'abord à usage rituel puis récréatif- lors de la période charnière qui fit succéder l'histoire à la préhistoire.

C'est au cour de la période connu par les écrits, que les addictions et conduite à risque se développèrent. Nombre d'états furent ainsi confronté à de multiples crises sanitaires, lié à la consommation de diverses substances, notamment les opiacés et la cocaïne vers la fin du XIXème et le début XXème siècle, puis les amphétamines stimulantes dans les périodes antérieures et ultérieure à la seconde guerre mondiale. Face à ces problèmes de santé publique les gouvernements ont légiféré et instaurer une prohibition, endiguant en grande partie la propagation des dégâts liés aux comportements addictifs.

Cependant, la fin des années 60 fut le théâtre de l'apparition des drogues psychédéliques et des nouveaux modes de consommations les accompagnant, pour les un, rituel et semblable en bien des points aux usages sacrés de nombreuses ethnies, pour les autres, récréatifs et hédonistes, voir artistiques. Si le monde fut bouleversé par la révolution culturelle, les débordements et le maintien de l'ordre public ont mené à l'interdiction totale de la production, la détention, l'usage et l'apologie de ces produits.

Les gouvernements, de par le monde, ont rapidement agit de consort et mis en place une action commune, simple et efficace : une législation listant précisément les molécules psychotropes interdites et les plantes susceptibles de les contenir. Par l'inclusion de la convention internationale sur les stupéfiants dans les textes de loi nationaux et la mise en place d'une lutte internationale contre le trafic des drogues illégales, les institutions étatiques et intergouvernementales ont un créer un moyen de lutte globale contre les organisations criminelle et le narcotrafic.

Outre les usages à risques, la communauté scientifique (qui synthétisa et prescrit bien des molécules à l'origine de catastrophes sanitaires) continua et continue de s'intéresser au effet des substances psychotropes sur la pensé et le corps humain. C'est donc à partir de 1967 que Alexander Shulgin, chimiste et pharmacologue américain estimé, se voit offrir la possibilité par l'entreprise pour laquelle il travaille, de faire des recherches sur le sujet de son choix. Face à cette opportunité, celui qui se fait aussi appelé Sasha prend la décision de travailler sur une classe chimique très particulière : les phényléthylamines, famille chimique comprenant la l'extasy et la mescaline.

Si les recherches d'Alexander « Sasha » Shulgin l'ont mené à créer, au fil des ans et des expérimentations, plus d'une centaine de nouvelles substances très intéressantes pour les psychologues et neurologues, les publications sont malheureusement intéressées les trafiquants de tout poil, qui y ont vu une mine d'or: de nouvelles drogues très puissantes et non répertoriées par les textes de lois...

Cette brèche juridique fut rapidement exploité par le biais d'internet, des « entreprises » basées en Chine et en Europe de l'Est, prétendant être des laboratoires professionnels, enclenchent la titanesque machine qu'on appel aujourd'hui le marché gris. Ces drogues non interdite,

Sommaire

I) PRESENTATION DU MARCHE GRIS

A) la réalité du marché gris

B) l’histoire des drogues expérimentales des drogues de synthèse

c) les dangers potentielle d’une étude pharmacologique a court terme et épisodique

Transition : comment face à la transformation rapide du marché le droit réagit –il ?

Transition

Le marche gris évoluant à une vitesse incontrôlable quel est implication du droit pour contrôler la diffusion de ces stupéfiants.

II) l’implication du droit dans le problème du marché gris

a) la loi des stupéfiants aujourd’hui

b) la difficulté de légiférer le marché gris

c) l’impuissance du système juridique actuel

Transition

Le système juridique actuel est inadapté face à la rapidité d’évolution de la situation sanitaire. Comment le système juridique peut il réagir face aux problèmes ?

III) quelles solutions se présentent au législateur ?

a)l’interdiction des classes chimiques en Angleterre

b) contrôle des douanes intensifier

c)prévention et tolérance auprès des consommateurs

I) PRESENTATION DU MARCHE GRIS ET

Afin de mieux envisager les différentes solutions qui s'offre au législateur, il faut d'abord prendre connaissance du contexte et du phénomène du marché gris, ainsi que du risque sanitaire lié à la nouveauté de ces produits et au manque d'études scientifiques et médicales sur ce sujet.

A) la réalité du marché gris

Vers 2007, avec la démocratisation de l'outil internet et la propagation de son usage, les premiers sites de « research chemicals », « party pills » et autres « legal highs », ont fait leur apparition. L'on distingue deux types de sites marchand :

-les plus sobres, décrivant seulement la molécule et sa composition, aucune mention n'est faite de leurs effets psychotropes, semblables à des sites de laboratoires professionnels, décris par les experts du phénomène comme « destiné » aux usagers avertis

-des boutiques en ligne à l'aspect chatoyant et aux design travaillé pour attirer l'oeil. Résultat d'un certain marketing, les produits y sont nommés tel des marques, sans même parfois mentionner la molécule. Les effets y sont décris et apparenté à ceux des drogues illégales. Selon les spécialistes, ils sont destiné aux plus jeunes utilisateurs.

Concrètement, l'existence de ces sites permet à n'importe qui d'acheter

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