Violence et légitimité de l'État

Violence de l’état et légitimité

L’Etat que l’on peut définir comme un système institutionnel dans lequel la puissance publique est soumise au droit, fondé sur le principe essentiel du respect des normes juridiques, chacun étant soumis au même droit que ce soit l’individu ou bien la puissance publique, l’État est pour autant la seule personne à avoir le droit légitime d’user de violence, cette légitimité se définie comme la conformité à un principe supérieur qui dans une société et à un moment donné est considéré comme juste, et cela dans le but d’éviter toute violence. Selon Hobbes, l’Etat, en tant qu’entité représentant une nation sur laquelle elle exerce un pouvoir suprême, serait précisément l’institution qui permettrait d’éradiquer la violence naturelle au sein de chaque communauté. Selon d’autres, l’Etat serait par essence une domination violente qui userait de sa force pour soumettre et contraindre. La réalité emprunte en fait à ces deux thèses. En effet l’institution de l’Etat a pour but la cohabitation pacifique des membres de sa communauté et pour cela il a le bénéfice du « monopole de la violence légitime ». L’Etat génère donc une certaine violence (répression des crimes et délits sur le plan national comme guerres conduites à l’extérieur) mais il la subit aussi et se doit de la combattre pour le bien être de la communauté nationale. L’Etat qui n’userait pas du monopole de la violence pourrait-il exercer sa légitimité ?

Le développement s’ordonne autour de deux idées, d’une part le pouvoir fondamental de l’État étant sa légitimité et d’autre part les limites de cette violence afin de respecter les droit de chacun des citoyens.

la légitimité, un pouvoir fondamental de l’État

La légitimité de la violence est nécessaire au bon fonctionnement d’un état, dans cette première partie nous allons donc étudier les différentes raisons pour lesquelles l’État est nécessairement obligé de faire preuve de violence afin de protéger les citoyens.

la violence, une sécurité pour le peuple

Idées : - l’État fait preuves de violences ayant pour but la cohabitation pacifiques des membre de sa communauté. Sans cette violence le peuple retournerais dans ces travers avec ses tradition d’antan consistant a faire ses lois soit même, en ayant recours au règlement de compte et en laisser sa vengeance décider de tout sans en être punis.

B) l’État n’est pas seulement détenteur de violence

Idées : - en effet l’État fait certes preuve de violence tout en légitimant cet acte, pour autant cet acte de légitime violence peut être désapprouver par le citoyens et celui ci peut décider d’avoir un recours en justice.

- a ne pas oublier que la France reste une démocratie et que celle ci laisse a ses citoyens la libre exécutions de ses droit fondamentaux déterminer par la constitution.

II) Ce monopole de la violence a pour autant des limites.

La violence est nécessaire a l’État

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