La démocratie.

Quand nous pensons de quoi s’agit la « démocratie », la plupart d’entre nous avons de la difficulté à imaginer l’image qui représente l’idéologie. Selon les dictionnaires, la « démocratie » se décrit comme étant, « système politique, forme de gouvernement dans lequel la souveraineté émane du peuple ». Cependant, la petite équipe de cinéastes se demande si cette définition de la démocratie peut être appliquée à notre système de gouvernement mondiale.

D’abord, l’équipe de cinéastes conduit une entrevue avec l’historien, l’archéologue et écrivain, David Van Reybrouck, qui croit que les citadins se sentent exclus et qu’ils ont perdus leur mainmise dans le gouvernement de leur société. Effectivement, il fait référence à une citation de l’université de Princeton, qui vient de publier une étude à propos de l’États-Unis qui dit que, de nos jours, le pays n’est plus considéré comme étant « démocratique » mais comme étant « oligarchique ». Ce que cela signifie est que, en terme simple, vous avez comparez ce que les gens voulaient et puis la préférence de l’élite économique et on voyait que systématiquement les décisions publiques sont plus en face avec les envies du monde économique que de la plupart de gens. Donc, nous pouvons voir et sentir que la démocratie a effectivement disparu : les hommes politiques n'écoutent plus les citoyens ; ils se contentent de répondre aux vœux des entreprises, qui veulent toujours plus d'une croissance aberrante.

Le premier exemple que l’équipe de cinéastes utilise est la situation économique qui a affecté négativement les peuples islandais durant la récession économique en 2008 (principalement à Reykjavik). Pour expliquer brièvement : la crise financière a affecté le système économique et bancaire qui a été provoqué par la crise des subprimes. C’était la conséquence directe de la politique d'endettement et du gonflement des bilans des principales banques locales à des niveaux qui dépassent plusieurs fois le PIB de l'Islande. C’est pourquoi plus que de 2 000 manifestants qui ont été affectés par la faillite, se sont descendus dans les rues et se sont regroupés sous l'étiquette de la « Voix du Peuple » contre le gouvernement. Le documentaire même montre des actions symboliques qui ont pris place durant les manifestations, par exemple : les citadins islandais brûlaient en public des drapeaux des banques qui ont fait faillite. En parlant de ces actions symboliques, cela nous ramènes à l’entrevue de l’écologiste, écrivaine et féministe, Vandana Shiva, qui croit qu’il y a deux lois supérieurs que l’humanité devaient obéir :

1. Les lois de Gaia (les lois de diversité, qui nous disent de protéger la Terre et quand même ses ressources et ses bienfaits).

2. Les lois des droits d’humaines (les lois qui découlent de la démocratie et de notre constitution).

Selon elle, toute loi qui interfère avec notre humanité (notre indépendance) et notre capacité de protéger notre Terre, nous ne devons pas y prendre part (et ça c’est exactement l’exemple que les peuples islandais ont pris pour faire face à leur gouvernement et l’économie corrompu). En raison des protestations nationales et des efforts de lobbying d’associations civiles, les nouveaux partis gouvernementaux ont décidé que les citoyens islandais devraient être impliqués dans la création d'une nouvelle constitution et ont commencé à débattre d'un projet de loi où le pouvoir politique des entreprises et des banques est encadré par les citoyens. (Mais, malheureusement, à cause des institutions, ce sont encore les élus qui ont le pouvoir au

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