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Liberté Et éducation

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Par   •  19 Mars 2013  •  942 Mots (4 Pages)  •  1 184 Vues

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Nous y allons depuis que nous savons marcher, d’abord la maternelle, ensuite les primaire et enfin le rénové.

L’école a pour but de nous instruire, de nous apprendre la vraie connaissance. Mais c’est aussi un lieu de culture, un lieu de démocratie où chaque élève peut s’épanouir via une matière ou l’autre selon ses préférences. L’école est là pour nous aider à trouver une voie, un chemin vers la vie active. Elle nous aide à nous diriger vers une matière que l’on préfère sans négliger les autres. Néanmoins, certains affirment que l’école est une prison qui nous dégouterait de la vraie connaissance.

Dès lors, nous pouvons nous demander si l’école a réellement un rôle libérateur ?

Nous allons exposer nos arguments qui fortifient le fait que l’école ait un rôle libérateur pour les élèves, mais également analyser à l’aide d’arguments que l’école n’a pas un rôle libérateur.

L’école publique est utile et nécessaire car elle est un des piliers de notre civilisation, de notre éducation. Elle a le rôle de stimuler la volonté naturelle que chaque élève a à développer toutes ses potentialités et à attraper un esprit critique. Elle offre à chacun le droit à l’apprentissage des connaissances les plus élémentaires : savoir lire, écrire et calculer. De plus, elle permet à chaque individu de poursuivre ses études dans des matières communes, au départ, et ensuite de se spécialiser dans des domaines plus ciblés en rapport avec les goûts et les aptitudes de chacun. Ainsi chaque personne peut s’épanouir librement et trouver une place active dans la vie économique, sociale et culturelle du pays.

Mais peut-être que le système scolaire, tel qu’il est organisé ne convient pas à tous les élèves. L’école publique organise l’enseignement obligatoire jusque dix-huit ans et favorise l’enseignement général dès la fin du cycle fondamental. Or certains élèves n’apprécient pas nécessairement tous les cours généraux et souhaiteraient probablement s’investir très tôt dans l’apprentissage d’un métier de leur choix. Mais dans le système scolaire que nous connaissons, ce n’est pas possible et c’est bien dommage car cela risque de dégoûter l’élève et de le retrouver très vite en décrochage scolaire. Dans le temps (il y a une trentaine d’années), les enfants qui n’aimaient pas l’école (comme on disait à l’époque) restaient une ou deux années supplémentaires à l’école primaire et pouvaient ensuite entrer directement dans une école professionnelle pour apprendre un métier manuel pour lequel ils présentaient des aptitudes vraies.

Un deuxième argument négatif est le fait que l’école devrait stimuler la volonté que chacun a à apprendre. Mais de nos jours, l’école doit affronter beaucoup de difficultés, jouer des rôles éducatifs qui ne sont pas les siens et qui devraient être ceux de la famille. De la maternelle (où il faut apprendre à l’enfant à être propre, à parler, à se socialiser) jusqu’à l’école secondaire qui doit gérer des problèmes plus graves (violences, drogue,…). Est-ce que l’école a assez de temps pour jouer son vrai rôle d’apprentissage des méthodes de travail, des savoir-faire pour permettre à chaque élève de prendre sa place dans la vie active

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