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Verlaine sa comparaison de lui-même en mouette

Commentaire d'oeuvre : Verlaine sa comparaison de lui-même en mouette. Recherche parmi 299 000+ dissertations

Par   •  3 Février 2015  •  Commentaire d'oeuvre  •  430 Mots (2 Pages)  •  699 Vues

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Verlaine s'identifie comme étant une mouette. Cela représente la dualité dans sa personnalité.

Argument secondaire Illustration Commentaire explicatif

La mouette décrite par l'auteur représente son esprit qui est

triste et amer.

« Mon esprit amer » (vers 2) « D’une aile inquiète et folle vole sur la mer » (vers 3) Champs lexical Tristesse : « esprit amer » (vers 2) « mélancolique » (vers 7) « effroi » (vers 5) La mouette ou goéland est perçue comme un oiseau bruyant et plaintif. La mouette représente l’esprit inquiet et triste de l’auteur. Celle-ci représente très bien son mal de vivre en se laissant aller au vent.

Argument secondaire Illustration Commentaire explicatif

La mouette, malgré sa peur, fait preuve d'un esprit

protecteur.

« tout ce qui m’est cher » (vers 4) « d’une aile d’effroi » (vers 5) « Mon amour le couvre au ras des flots. Pourquoi, pourquoi » (vers 6) Couvrir est associé à la protection. Nous pouvons voir une incompréhension par apport aux nombreux sentiments en opposition à son esprit mélancolique.

Argument secondaire Illustration Commentaire explicatif

L'opposition qu'éprouve Verlaine entre son cœur et son

esprit est représentée par le comportement de la mouette.

« mouette à l’essor mélancolique » (vers 10) « ivre de soleil » (vers 11) « et de liberté » (vers 12) « Un instinct la guide à travers cette immensité » (vers 13) La mouette représente l’esprit de l’auteur. Il est triste, mais désire aussi le bonheur et la liberté. Pour atteindre cela, il devra suivre son cœur sans vraiment savoir y être en accord.

Deuxième argument principal

Verlaine ne sait pas vraiment comment vivre avec son amour compliqué. Nous pouvons appeler cela la dualité émotive.

Argument secondaire Illustration Commentaire explicatif

L'auteur vit des montagnes russes d'émotion.

« puis au gré du vent se livre et flotte » (vers 20) « Et plonge, et l’aile toute meurtrie » (vers 21) « Revole, et puis si tristement crie ! » (vers 22) L’auteur nous laisse entendre qu’il hésite à s’abandonner à l’amour.

Argument secondaire Illustration Commentaire explicatif

Malgré son hésitation, Verlaine semble être attiré par le

bonheur que pourrait lui procurer cet amour.

« Un instinct la guide à travers cette immensité » (vers 14) «

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