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Le travail 1 – « Les cyclopes du jardin public » (Thériault)

Dissertation : Le travail 1 – « Les cyclopes du jardin public » (Thériault). Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  9 Mars 2017  •  Dissertation  •  1 402 Mots (6 Pages)  •  714 Vues

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Marie Thériault a écrit une histoire riche en éléments qui rendent le texte assez difficile a interprété. Ce commentaire concentrera sur une sélection de ces éléments qui présentent un intérêt, ou qui sont plus important en raison de la compréhension du sens de l’histoire. Certaines de ces éléments sert à causer des craquements dans le déroulement du temps. D’autres, comme certains des champs lexicaux, sont incorporé pour crée un ton assez angoissant. Il y a aussi des morceaux de texte qui donne le sens que l’histoire se déroule à ‘envers. Finalement, Thériault a utilisé des synonymes dans un manière qui enlève un peu la liberté des lecteurs à faire des interprétations uniques.

Les cyclopes du jardin public raconte la déambulation d’un personnage vague et mal décrit. À longueur de l’histoire on observe que c’est non seulement le personnage qui est vaguement décrit, mais l’espace et le temps qui restent, eux aussi, des détails abstraits. On a besoin de regarder de plus proche les pronoms pour comprendre comment Thériault a créé cet effet selon les lecteurs. Comme les pronoms sert a remplacé les noms, il est intuitif que leurs présences rendent une phrase ou description moins préciser. Alors, la manque de noms contribuent au mystère du texte. Le lecteur, en lisent les lignes, « Le sol est toujours là » (Ligne32-33, page 32) et, « il tourna la tête vers l’endroit d’où il venait » (Ligne 15, page 32), se demande c’est où « là », et c’est qui « il » respectivement. Ce sont quelques-uns des questions que Thériault nous laisse répondre en utilisent nos imaginations et nos créativités. Cela sert à rendre le texte plus engagent pour les lecteurs. Dans certain cas c’est si évident qu’elle le fait par express, qu’on devient même conscient que c’est nous qui dois remplir les trous dans l’histoire avec notre interprétation. De plus, puisqu’il y a une tonalité angoissant dans le texte, les réponses des lecteurs qui sont provoqués par l’utilisation des pronoms dans le texte inculque des sensations craintives en eux.

Comment à Thériault réussit a présenté le thème d’angoisse a son histoire? En partie, elle a utilisé des champs lexicaux comme celles de noirceur, de division, et de sessilité. Le champ de noirceur consiste de : « noir », « nuit », « obscurci », « sombre », « enfonça », « assombrir ». Chaque mot contribue à introduire un situation compris d’être négatif pour le personnage de l’histoire. On remarque aussi le champ de sessilité qui est composé de mots telle que: étale, aplati, moindre brise, immobilité. Ces mots décrivent une scène dans laquelle aucun chose arrive. Alors, il soulève du texte le thème de l’étranger car quand dans le plein milieu d’une ville est ce rien n‘arrive du tout. Tenir compte que rien ne se passe, on croit être dans un endroit surréaliste car c’est un espace si anormal. Finalement, le champ de division, que je trouve est dominant à travers l’histoire, comprend les mots : séparait, distance, horizon, murailles, grille, paroi, contours, mur, porte, bordure, surface, enfermé, œuf de verre, plafond, et d’autres. Ce champ est indicatif que l’espace dans lequel l’histoire se déroule est hors de la réalité. Alors, il y a le monde où vie le lecteur, disons le vrai monde, et il y a le monde fantastique où se trouve le personnage de l’histoire. De plus, tous les termes de ce champ lexicaux symbolisent la division entre ses deux mondes. Les termes dans ce champ introduit aussi le thème de claustration. On a le sens d’être des spectateurs de l’isolement d’un homme qu’on suit le long d’un trajet mal illuminé qui devient de plus en plus enfermé, compressé et dense au point de l’étouffer.

En lisant Les cyclopes du jardin public, en première reprise, il semblait qu’il y avait un déroulement de temps logique. L’histoire commence avec un homme qui se promenait en ville pendant le chouchement du soleil. Dès que son trajet devenait de moins en moins éclairé, on est à la croyance que sa devenait plus tard et que le temps passait normalement. Mais, plusieurs éléments de l’histoire causent des cassements

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