Le bien et le mal

Dans un premier lieu, ce roman est de type fantastique, car il y a irruption de l’irréel dans le réel. De même, on y retrouve une chute du type épiphanie, car la fin atteint un degré de conscience plus élevé avec une sorte d’illumination quant à l’énigme. Le message du roman, Le cas étrange du Dr Jekyll et M. Hyde, par Robert Louis Stevenson est que le bien et le mal existent en chacun de nous. C’est pourquoi, on va aborder le thème de la folie et le thème du double.

Pour commencer, le thème de la folie fait partie de notre conscience elle est divisée en trois parties le moi, le surmoi et le ça. Notamment le moi est illustré par le personnage du Dr, Jekyll. On connait l’identité du Dr Jekyll lorsque M. Enfield raconte l’histoire de la petite fille et M. Hyde à M. Utterson. En effet, nous pouvons voir dans le roman Le cas étrange du Dr. Jekyll et M. Hyde les caractéristiques qui définissent en tant que personne au Dr. Jekyll «la signature apposée sur le chèque était celle d’un homme des plus respectables, d’un homme célèbre et (ce qu’il y a de pire) d’un homme connu pour le bien qu’il fait. » (p.14) Comme on peut constater le moi du Dr. Jekyll a une grande personnalité. C’est un homme très réputé avec beaucoup de contacts et une bonne image su seins de la société. Ensuite, le ça qui est les pulsions et les désirs les plus enfui dans notre conscience fait partie de nous. On peut très bien le ça du Dr. Jekyll lors de l’explication du mystère du roman par Henry Jekyll. C’est-à-dire que le ça fait partie de nous, comme le roman le cas étrange du Dr. Jekyll et M. Hyde : « Par le fait, le plus grand de mes défauts étais un certain goût mal contenu pour les plaisirs, (…) » (p.123) Donc Dr Jekyll était une très bonne personne mais malgré cela il avait des profonds plaisirs qu’il a essayé de les cacher depuis longtemps. Bref, le Dr. Jekyll pouvait être avoir un grand statut, mais comme tout le monde notre ça essaye de ressortir.

D’une part, tout au long de ce récit le thème de double est très présent. Par exemple le principe de dualité de la vertu est du vice. Dans le récit on y parle lorsque le Dr. Jekyll explique le mystère de M. Hyde. En effet, le roman le cas étrange du Dr. Jekyll et M. Hyde nous montre la dualité du vice est de la vertu : « le bien pourrait suivre la grande route de la vertu (…) se réjouissant de ses bonnes œuvres sans être exposé davantage à la disgrâce et aux remords qui pourraient lui être imposé par le côté pervers. » (p.126) En fait, dans ce récit la vertu est présente dans le personnage de Henry Jekyll qui est reconnu par ces bonne actions et le vice pas son côté obscur qui est M. Hyde qui n’as que des comportement et pensée mauvaise. D’autre part, on perçoit une dualité entre ce qu’on aime faire et ce qu’on fait réellement et on peut le constater lorsqu’on décrit la personnalité de M. Utterson. En fait, dans le roman, le cas étrange du Dr. Jekyll et M. Hyde, cette dualité illustre le surmoi par la société dans laquelle M. Utterson y vit et le ça par les plaisirs qu’il aime : « il est austère pour lui-même, buvant du gin quand il était seul, pour mortifier son goût pour le vin » (p.5) Donc, dans ce récit M. Utterson ce privé des douceurs de la vie d’une manière assez stricte pour suivre les conventions que la société lui impose. En somme, le mal fait partie de nous ainsi les conventions sociales.

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