La Beauté, une histoire de goût

Sujet :

La beauté, une histoire de gout

Par :

IBTISSAME MANAR

OUSSAMA BOUZOUBAA

ANTHONY GIACALONE

IMANE MOUSSAOUI

ZINZB LAHLOU

INTRODUCTION :

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La beauté comme valeur universelle, caractère de ce qui est beau, de ce qui plait universellement.

Dans ce thème on peut citer la déesse grecque de la beauté Aphrodite.

On disait que Aphrodite était la fille de Zeus et de Dioné, mais d'autres sources la disent née de la Mer. Son égale dans la mythologie Romaine est Vénus.

Elle compte parmi les douze grands dieux de l'Olympe. Elle est la déesse de la beauté, de l'amour et du plaisir. Elle fait naître dans le coeur des Dieux le désir de s'unir à des Terriennes.

Ses amours avec les Dieux furent très nombreuses, personne ne pouvait lui résister. 

Son nom est souvent utilisé pour le marketing de produit d’amour érotique ou aphrodisiaque comme exemple création d’un salon de beauté et de bien être appelé Aphrodite de beauté avec une expérience dans l’univers de l’esthétique depuis plus de 25 ans .

Axe 1 : LES OPINIONS, AVANTAGES,  QUE LA BEAUTE OFFRE COMME VALEUR AJOUTÉE 

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A) LA BEAUTE, UNE VALEUR AJOUTÉE [pic 2]Dans le monde impitoyable du travail, un physique avantageux est plus rentable. Selon un livre choc publié ces jours-ci aux États-Unis, une personne née sous une belle étoile décrochera un meilleur salaire où réalisera un plus gros chiffre d’affaires.

 En matière de discrimination, ce n’est pas joli, joli.[pic 3]

Au pays de Barbie, comme dans tous les pays, mieux vaut être né beau que laid. Une vérité que s’attache à prouver depuis vingt ans un professeur d’économie fasciné par une science obscure baptisée « pulchronomics » (ou économie de la beauté, le terme tirant son origine du latin « pulchritudo », qui signifie beauté). Dans son dernier ouvrage, Beauty Pays Why Attractive People Are More Successful (La beauté paie. Pourquoi les gens beaux ont plus de succès, Princeton University Press), Daniel Hamermesh, enseignant à la très sérieuse université du Texas à Austin, révèle, statistiques à l’appui, que les gens beaux ont des revenus plus élevés en moyenne que les autres. Ainsi un bel homme gagnera-t-il en moyenne 17 % de plus qu’un type moche et une jolie femme, 13 % de plus qu’une fille laide. Au cours de sa vie professionnelle, un bel employé recevra en moyenne 230 000 dollars de plus qu’un travailleur jugé laid, une somme suffisamment rondelette pour inciter les gens appartenant à cette dernière catégorie à dénoncer l’injustice dont ils sont victimes.Le constat de cet économiste qui base ses observations sur des études réalisées dans plusieurs pays ? « La beauté est une denrée rare mais lucrative. »

B) LES AVANTAGES DE LA BEAUTÉ

 Les gens sont différents les uns des autres. La beauté est l'un des éléments de différence.

 L'acteur Mel Gibson, par exemple, est bel homme. Ce qui explique, au moins en partie, le succès de ses films. Et des films à succès se traduisent par des revenus élevés pour l'acteur.

 Les avantages économiques de la beauté sont-ils importants ?

Les économistes spécialistes du travail Daniel Hamermesh et Jeff Biddle ont essayé de répondre à cette question dans une étude récente, menée aux États-Unis et au Canada, dont les résultats furent publiés en décembre 1994 dans le magazine American Economie Review. Les questionneurs devaient noter l'apparence physique des personnes interrogées, et Hamermesh et Biddle ont comparé les salaires des personnes interrogées non seulement aux critères objectifs - formation,expérience, etc. -, mais aussi à la beauté physique.

 Le résultat de l'étude, c'est que la beauté rapporte. Les individus les moins attirants physiquement gagnent 5 à 10 % de moins que les personnes d'apparence moyenne. Et celles-ci gagnent 5 % de moins que les individus les mieux dotés physiquement. Et ces résultats sont valables pour les hommes comme pour les femmes.

 Comment expliquer ces différences de rémunération?

 Cette prime de beauté peut s'interpréter de plusieurs façons.

 On peut considérer qu'il s'agit tout simplement d'un déterminant supplémentaire de la productivité et du salaire.

 Certaines personnes ont la chance d'avoir un physique de star de cinéma, d'autres n'ont pas cette chance. Un physique agréable est un atout dans tous les métiers de contact : la vente, l’art dramatique, peut-être même l'enseignement. Un employé physiquement attirant est donc un actif pour son employeur. Si celui-ci accepte de le payer plus cher, cela reflète les préférences des consommateurs.

 Une deuxième interprétation considère que la beauté est une mesure indirecte des autres formes de talent.

 Le caractère plus ou moins attirant d'un individu ne repose pas uniquement sur des facteurs génétiques. La façon de s'habiller, de se coiffer, de se tenir, de parler sont autant d'éléments importants dans ce domaine. Peut-être que quelqu'un qui est capable de projeter une image flatteuse de sa personne est aussi capable de véhiculer une image flatteuse de l'entreprise qui l'emploie.

 Une troisième interprétation considère que la prime de beauté est une forme de discrimination, sujet dont nous reparlerons bientôt.

C) LES OPINIONS DE LA BEAUTÉ

S’il est une opinion unanimement partagée, c’est qu’en matière de goût et de beauté, toutes les opinions se valent. Cela n’interdit pas les jugements relativement unanimes sur telle nourriture ou sur la beauté de telle “star”. De même, on ne discute guère de la laideur de Boris Karloff lorsqu’il joue la créature de Frankenstein. Ce relativisme de façade qui n’interdit donc pas les jugements péremptoires est contradictoire comme tout relativisme. Si toutes les opinions se valent, l’opinion selon laquelle le goût et le beau ne sont pas relatifs est tout autant valable. Et c’est précisément ce qu’on refuse. Et comment refuser la distinction entre les grandes œuvres et les simples gribouillis ? Il faut donc interroger la question du goût et de la beauté. D’où peut provenir leur apparente confusion ? Quelle est l’essence de la beauté ?

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