Babouc et Persépolis;

Babouc, un scythe, est envoyé par l'ange Ituriel pour faire un rapport sur Persépolis, pour savoir si celle-ci doit être détruite ou non.

A la fin de sa mission, Babouc, doit faire le procès de Persépolis. Il commença par un réquisitoire avéré et donna les raisons pour lesquelles Persépolis devrait être détruite.

  Lorsqu'il se dirigea vers la ville, Babouc rencontra l'armée persane qui alla combattre l'armée indienne. Voulant savoir les raisons de cette guerre, il demanda tout d'abord à un soldat, qui ne sut lui répondre. Il alla donc voir le capitaine, mais celui-ci ne connaissait pas les raisons. Lorsqu'il alla voir un des généraux, il y découvrit que cette guerre est en faite la cause d'une simple querelle entre un eunuque de la femme du grand roi de Perse et entre un commis du bureau du grand roi d'Inde. Babouc se dit alors que c'est une guerre qui n'a aucun sens, une guerre qui est inutile. Puis, lorsque les deux armées se battaient, Babouc ne voyait pas des hommes se battres, il se demanda si ce n'était pas des bêtes féroces, sans humanité. De plus lorsque la paix fut déclarée, les deux armées, dont aucune n'avait gagner, allaient briguer les récompenses, seulement pour avoir versé du sang.

   Les meurtres, les incendies, les ruines et les dévastations se multiplient de plus en plus.

   Lorsqu'il arriva dans la capitale de l'Asie, il y découvrit une ville avec une rusticité dégoûtante, un peuple sale, laid, et des cadavres enterrés dans le même temple que celui où ils adorent la Divinité. Pour Babouc, il vaudrait mieux détruire Persépolis, pour reconstruire une ville meilleure, plus belle et avec un meilleur peuple et sans maladie.

   Chez une dame, il y découvrit des habitants habités par la jalousie, la discorde et la vengeance.  En voyant ceci, il pensa qu'une telle société ne pouvait subsister, que la jalousie, la vengeance et la discorde devaient désoler toutes les maisons. Les maris tueraient les amants de leurs femmes, que les larmes et le sang devaient couler tous les jours. Babouc y découvrit également une ville abandonnée à de continuels désordres.

   Il découvrit par la suite, un pays où l'on met aux enchères la dignité de la paix et de la guerre et que le droit de juger et de diriger une armée s'achète comme si c'était une exploitation agricole.  

    Babouc alla dans un collège de mages et rencontra un demi-mage, qui était intolérant face à la religion du Grand Lama du Thibet motivé par ses déclaration : il dit que l'homme est libre mais personne ne le croit.

   Par la suite, il rentra chez lui et invita quelques lettrés a venir dîner chez lui pour se réjouir. Or le dîner ne se passa pas comme il l'avait prévu, tous les lettrés qui était présent, ne se supportaient pas et étaient venu que pour manger. Babouc pensa alors qu'il n'y aurait pas grand mal quand ils périraient dans la destruction générale.

Babouc se fit mener chez un ministre. Le moment d'attente dans l'antichambre fut tellement longue, qu'il décida de recommander à Ituriel, le ministre et ses insolents huissiers.

Pour finir, lorsqu'il était enfin dans le bureau du ministre, une femme entra en colère contre le ministre et se plaignit avec amertume de ce qu'on avait refuser à son mari. 

Tous ces éléments font partis du réquisitoire envers Persépolis, envers ça destruction.

  Cependant, nous pouvons voir qu'il y a également une plaidoirie envers Persépolis, pour ne pas qu'elle soit détruite par l'ange Ituriel.

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