Analyse sur le roman L'Aventure ambiguë de Cheikh Hamidou Kane

Résumé / Analyse Critique / Propre Opinion sur L’Aventure Ambiguë

Publié le septembre 12, 2011

Semaine 2 – Premier Blog

A mon avis, la première page de ce livre essaie de choquer le lecteur par la violence du professeur vers l’élève. Thierno (le professeur) est en train de punir Samba Diallo pour ne pas avoir appris ‘son verset’. D’après moi, l’intimidation et les actes de violence ainsi que la présence du mot ‘garçonnet’ sont là pour nous donner un sens fort de sympathie. En plus, les substantifs qui sont employé par l’écrivain sont menaçants. Par exemple, il parle de la ‘rage’ et de la ‘douleur’. On se demande ‘Pourquoi ce professeur est-il si cruel?’.

Semaine 3

D’abord, dans la première partie de ce roman, l’auteur nous donne une description très détaillée du professeur. « L’homme était vieux, maigre et émacié….il ne riait jamais ». Cette description est importante car nous voyons dès le début, sa mentalité et son apparence physique. Dans le premier chapitre, le prof est présenté comme un homme « redoutable à beaucoup d’égards ». L’influence et l’importance de la religion sont évidentes tout au long du premier chapitre. Les élèves doivent « réciter la parole du Dieu » et les punitions pour ne l’avait pas fait correctement sont claires. La discussion sur Dieu continue jusque à la fin du chapitre. « …la révolte contre la misère ne se distingue pas de la révolte contre Dieu. » etc.

À mon avis, le premier chapitre est une bonne introduction dans le monde de ces personnages où le lecteur peut voir clairement les différences de position sociale et le contexte culturel de ce roman.

Un exemple d’une phrase avec l’inversion du verbe :

« Peux-tu m’expliquer comment marche l’imprimante au bureau ? »

Semaine 4 – Réaction personnelle sur le personnage de "La Grande Royale".

À mon avis, ce personnage est présenté comme quelqu’un d’important. L’auteur nous donne une description très éclatante de "La Grande Royale". D’abord, on voit que son âge n’est pas important et qu’elle est tellement mystérieuse dès le début. "On ne voyait d’elle que le visage". Sa robe (qui est typique dans les sociétés musulmanes) cache presque son corps entier. Elle a une présence très forte et a un visage comme "une page vivante de l’histoire du pays…". Cette image nous donne l’impression qu’elle est bien intégrées et ancrée dans la tradition de la région. La phrase qui décrit sa bouche ("La bouche était grande et forte sans exagération") est importante car à mon avis, ça veut dire qu’elle est assez puissantes dans cette société machiste mais également, qu’elle connait bien sa place. L’image de son "visage de nuit" est, selon moi, une exagération de la part de l’auteur sur les deux côtés de la personnalité de ce personnage intriguant.

Je pense que ce personnage est assez croyable malgré le fait que l’oppression contre les femmes existe encore dans beaucoup de pays musulmans (et bien non musulmans) aujourd’hui. Elle est également quelqu’un à admirer grâce au statut qu’elle a atteint.

Semaine 5 – Les Sept Péchés Capitaux

Les sept Péchés Capitaux dont je vais parler sont ceux de l’église catholique. D’abord, il y en a sept et il faut dire également que certains de ces ‘péchés’ sont en fait des vices.

La liste exhaustive des péchés :L’orgueil, l’avarice, l’envie, la colère, l’impureté, la gourmandise et la paresse.

En ce qui concerne le contexte du roman, l’auteur nous donne des opinions divergentes qui expliquent comment mener une bonne vie. Par exemple, le personnage qui a l’avis le plus frappant par rapport à la vie, c’est le maître. Selon lui, la vie doit être remplit de douleur et de souffrance. Et il utilise cette doctrine pour former Samba Diallo. Mais les questions posées par l’auteur quant à la mort, sont vraiment intrigantes. Par exemple, "Est-ce qu’il faut mourir?" , "Comment mourir?" et "Comment mener une bonne vie?" etc. À mon avis, ces questions profondes sont très difficiles à se poser et parfois on a du mal à trouver des réponses satisfaisantes.

Semaine 6 – La question de la mort (le mal de Dieu).

Le début de chapitre VII est tellement intéressant car l’auteur parle de l’importance de la mort. Il fait référence à la fin du monde avec l’image du soleil qui était "suspendu dangereusement". Dans une certaine mesure, même les personnages voient le coucher du soleil comme la fin du monde. "…il me semblait plus proche de la fin du monde que de la nuit". Par conséquence, la question de l’importance de la mort par rapport à la vie est posée. "Quand saurait-on la vérité?".

Que se arrivera-t-il après la vie? Pourquoi Dieu a-t-il décidé de prendre la vie d’une personne? Toutes les religions du monde offrent des réponses différentes à ces questions. En plus, la science essaie de trouver la réponse à cette question également. En réalité, on ne sait pas mais l’auteur dévoile son avis sur la mort. Il exprime que la vie n’est pas la plus importante, mais en revanche, c’est la mort qui compte. "Mais la vérité, pour avoir ceci, faut-il renoncer à cela?". Ici, on voit l’opposition entre la religion et la science mais ce n’est qu’après la mort quand on trouvera la vérité.

À mon avis, la science ne trouvera jamais la réponse à cette question profonde. Il faut avoir de la foi, sinon on ne arrivera jamais à être vraiment heureux. Également, la question de la métaphysique (introduite par ce roman vers la fin de chapitre 7) est un autre élément dont la science essaie de trouver des solutions. Selon moi, elle n’arrivera jamais à obtenir ce but.

Semaine 7 – Matérialisme et la mort de Dieu « entre les guillemets ».

Le matérialisme

Le thème de matérialisme apparaît assez fréquemment dans « L’Aventure Ambiguë » et nous voyons l’importance de ce sujet dans le contexte du roman dans le chapitre neuf. D’abord, c’est le chevalier qui introduit le sujet de travail en posant la question « …pourquoi travaille-t-on ? ». C’est une question profonde au quelle il n’y a pas de solution facile. Le fils répond et il dit que la raison pour travailler, c’est «

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