Commentaire Composé, La Ville, Emile Verhaeren
Commentaire de texte : Commentaire Composé, La Ville, Emile Verhaeren. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Quinn Wolfclaw • 13 Avril 2023 • Commentaire de texte • 463 Mots (2 Pages) • 242 Vues
Perz Le Balc’h Quentin 1B
17/10/22
Français – DM
Le poème se nomme « La Ville » et a été écrit en 1893 par Emile Verhaeren. Il fut publié dans le recueil Les Campagnes Hallucinées. Le thème principal du poème est une description d’une ville et de tout ses aspects. La partie que nous allons commenter est e regroupement des vers 16 à 51 de la deuxième partie de « La Ville ». dans la première strophe de la deuxième partie le poète parle des points négatifs et peu reluisants des rues de la ville, puis de l’aspect énervé et stressant de la ville dans la deuxième strophe et enfin du faux espoir qu’elle procure dans la troisième strophe. Le poète souhaite-t-il montrer un aspect positif ou négatif de la ville ?
Citation | Identification | Interprétation |
« Alcools » « ivresse » « débauche » « bars » « fermentée » | Lexique de l’alcoolisme | Aspect peut attirant de la ville, mal famé. |
« trouble et lourde » « aveugle » « aux yeux pour se fermer » « brume immense » | Lexique de la malvoyance[pic 1] secret cécité[pic 2] | Fermer les yeux pour ne pas voir les défauts de la ville, ou ne plus les voir. |
« domine la plaine » « colossal espoir » « se projette en lueurs jusqu’aux cieux » « pieuvre ardente » | Lexique de l’inévitable comparaison Ville / Pieuvre | La ville est partout et inévitable, comme forçant les ruraux à s’y rendre. |
« Vers le bonheur fallacieux que la force et la fortune accompagnent » | Dévoile l’aspect trompeur et mensonger de la ville montrant/arborant une image parfaite (espoir, splendeur, clarté, bonheur, force, fortune) | |
« Et les chemins d’ici s’en vont à l’infini vers elle » | Hyperbole | Exagération de l’inévitabilité de se rendre à la ville. |
En conclusion, Verhaeren nous montre un aspect plutôt négatif de la ville, puisqu’il la décrit comme mal-famée, assourdissante, étourdissante et tentaculaire, en la comparant à un pieuvre. Il utilise aussi le lexique de la mort, avec des mots tels que « l’ossuaire », « la carcasse solennelle » ou « les mourants ». on peut aussi trouver dans le poème des aspects positifs de la ville, mais qui sont des mensonges, comme on peut l’observer avec « Vers le bonheur fallacieux ». Tous ces exemples rapportent à un aspect négatif.
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