Physiologie comportement alimentaire
Fiche : Physiologie comportement alimentaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Marine Gevin • 20 Mars 2019 • Fiche • 2 162 Mots (9 Pages) • 544 Vues
Physiologie
du
comportement alimentaire
sommaire
I. Introduction 3
Definition 3
Organisation de la prise de nourriture 3
Facteurs influencant le comportement alimentaire 4
II. Gestion des réserves 4
L’apport en nutriments 4
Gestion energétique de l’organisme 4
III. La regulation du comportement alimentaire 7
1. Caracteristiques des prises alimentaires 7
2. Les structures impliquées 7
3. Mécanisme et signaux de declanchement du repas (faim) 7
4. Mecanisme d’arret du repas : Rassasiement et satieté (REGULATION à COURT TERME) 7
5. Regulation à long terme 9
6. Le gestion du repas 10
7. Un réseau neuronal complexe 11
IV. Le deuxieme cerveau et le microbiote 11
Aspect moteur : Exemple du vomissement 12
Aspect psychologique : Comment le système nerveux enterique via l’alimentation va stimuler notre humeur ? 12
I. Introduction
1. Definition
2. Organisation de la prise de nourriture
3. Facteurs influencant le comportement alimentaire
II. Gestion des réserves
1. L’apport en nutriments
2. Gestion energétique de l’organisme
- Les reserves energetiques internes
- La regulation hormonale des réserves
- Notions d’endocrinologie
- Moyen de communication de l’organisme
- Les Glandes
- Activite hormonale
- Les différentes classe d’hormones [pic 1]
- Biosynthèse des hormones
- Le mode d’action des hormones
- LE PANCRÉAS
- L’insuline
- le glucagon
- LA GLANDE SURRÉNALES
III. La regulation du comportement alimentaire
1. Caracteristiques des prises alimentaires
- Les prises de nourriture présentent une séquence nycthemerale
- Regulation
Régulation des sécrétions endocrine (feedback) : Une des caractéristiques majeures des systèmes endocriniens est qu’ils ne se bornent pas à la fabrication d’hormones ; par-dessus le marché, ils détectent et évaluent les effets et leurs hormones. Ainsi, la sécrétion d’hormones est régulée, si bien que son taux est adapté aux activités et aux besoins corporels en cours. Le moyen de contrôle fondamental est le rétro contrôle négatif : des hormones circulantes agissent en retour sur des structures endocrines pour inhiber le phénomène pilotant leurs propres sécrétions ou celle d’autres hormones.
Exemple : L’hormone d’insuline est libérée pour contrôler le taux sanguin de glucose. Après un repas, le glucose contenu dans la nourriture entre dans le sang et déclenche une libération d’insuline par le pancréas. Celle-ci stimule le stockage et l’utilisation du glucose par les muscles et les tissus adipeux. Il s’en suit une baisse de la glycémie qui réduit la sécrétion pancréatique d’insuline. Lorsque l’organisme est en alerte, l’hypothalamus ordonne via son circuit neuronal efférent, à la médullosurrénal de sécréter de l’adrénaline. Cette hormone mono-aminée agit sur de multiples organes cibles organiques, impliquées dans la mise en alerte du corps. Le cerveau détecte les modifications fonctionnelles affectant les organes, puis exerce un rétrocontrôle négatif de l’hypothalamus pour réduire la sécrétion d’adrénaline.
2. Les structures impliquées
- Hypothalamus
- Le tronc cerebral
- Les glucodetecteurs centraux
3. Mécanisme et signaux de declanchement du repas (faim)
4. Mecanisme d’arret du repas : Rassasiement et satieté (REGULATION à COURT TERME)
Chez l’homme, on a évalué qu’il faut attendre environ 2h à 3h après le début du repas pour que les nutriments ingérés soient absorbés par la paroi intestinale, passent dans le milieu intérieur et soient disponibles pour les tissus.
Après 10 à 30min, le repas s’arrête alors que les nutriments ingérés sont encore dans le tube digestif et n’ont pas encore réellement modifiés le milieu intérieur. Ce n’est pas l’arrivée des nutriments dans le milieu intérieur et leur disponibilité pour les tissus qui arrêtent le repas, ce sont d’autres mécanismes qui interviennent. Ces mécanismes ont été appelés mécanismes de rassasiement, ce sont eux qui déterminent la taille du repas. Ces mécanismes sont déclenchés par des signaux sensoriels et mécaniques et hormonaux.
A. Les facteurs sensoriels
Les récepteurs sensoriels mis en jeu dans l’arrêt de la prise alimentaire interviennent plutôt dans les mécanismes qui font que l’on choisit d’ingérer ou non un aliment, ou d’arrêter de l’ingérer après l’avoir goûté. Ces récepteurs envoient au SNC des signaux sur l’aspect, l’odeur, le goût des aliments, via les nerfs crâniens :
- Récepteurs visuels, olfactifs
- Récepteurs gustatifs : chémorécepteurs
Ces récepteurs donnent une image qualitative des aliments.
L’alliesthésie (subjectif) : C’est la différence de sensations ressenties par un individu, de nature agréable ou désagréable selon l’état physiologique pour une même personne, ne peut plus moins apprécier le gout.
Le rassasiement est conditionné, le contrôle de la quantité consommée est adaptatif et est fondé sur une motivation.
Phénomène conditionné : Le rassasiement est issu d’un conditionnement sensoriel qui permet d’anticiper les conséquences des aliments consommés. (L’adaptation anticipatoire)
B. Les facteurs digestifs
Fait intervenir des récepteurs sensoriels et mécanique qui sont mise en jeu dans l’arrêt de la prise alimentaire :
- Etat mécanique du tube digestif
- Etat physico-chimique du contenu digestif
La distension gastrique (reflexe vaso-vagal) :
- Gonflement de l’estomac
- Distension de l’estomac (détection du gonflement par mécanorécepteur qui active le nerf vague)
- Nerf X (vague) : Nerf du système nerveux parasympathique
- Signal traversant le nerf qui va envoyer un signal au tronc cérébral (complexe vagal dorsal : vers les neurones du noyau du tractus solitaire NTS)
- Ces neurones vont envoyer des projection courte vers le noyaux moteur du X, c’est là où se trouve la voie descendante du nerf X) : La branche efférente envoie un message à l’estomac pour éviter qui se dégonfle et qui a pour conséquence de participé au rassasiement
A développer :
- Voie sympathique
- Voie parasympathique
c. LES FACTEURS HORMONAUX
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