SYNTHESE sur la maison monde d'ouverture ou d'enfermement?

DEVOIR DE SYNTHESE

        C’est dans ce coprus de 5 documents que la place de la maison est mis en avant. Dans le texte Une chambre à soi de Virginia Woolf paru en 1929 ; dans le deuxième sexe de Simone De Beauvoir paru en 1949 ; dans le confinement a mis en évidence les inéalités dans le logement de Jean-Noel Escudié paru en juin 2020 ; dans La maison de la vie matérielle par Margurite Duras paru en 1987 ; ou bien dans Sonnet 17 du Confinement du monde par Pierre Vinclair paru en mars 2020. Ces textes mettent en évidence la maison et ses différents aspects. De ce fait, les auteurs nous mènent vers un questionnement : En quoi la maison est un lieu d’ouverture en dépit de son caractère d’enfermement. Pour répondre à cette question, nous étudierons en première partie le caractère d’enfermement de la maison; puis dans un second temps, nous verrons la maison comme point d’ouverture.

        La maison est composé de 4 murs, une porte, des fenêtres et un toit, ce qui peut donner l’impression que la maison est un lieu d’enfermement contenant un eternel recommencement que le ménage cherche à fuir.
        Dans le foyer, on y voit souvent les mêmes chose se répéter. C’est ce que nous exprime Madame DE BEAUVOIR,  dans son texte, elle explique que les femmes sont voués à faire les mêmes taches que la veille et ses tâches seront aussi celle du lendemain. C’est un combat sans victoire puisque la maison sera toujours sale, les vetements toujours a lavé, les enfants toujours a nourrir. C’est un cercle vicieux. Cercle que l’on retrouve dans le poème de Monsieur Vinclair, où il exprime sa peine, se dit las du temps. En effet, lors du confinement, les journées étaient homogènes, les tâches toujours les mêmes. Ici, on ne parle pas de tâches ménagères mais on parle de visio-conférence à animer, de cours à tenir, de copies dematérialisées à corriger. Les tâches ne sont pas les mêmes mais le combat est artagées. De plus, Madame Woolf tient à souligner que ces täches répétitives ont bafouées trop souvent la poétesse qui sommeillait en chacune des femmes. C’est un mécanisme dont on ne peut sortir et les portagonistes sont voués à cet eternel recommencement.
        La solution que l’on pourrait y trouver serait de partir de la maison, de la fuir. C’est ce que souligne Madame De Beauvoir dans son texte. La jeune fille voit sa mère continuellement faire les mêmes tâches, et ne souhiatant pars être soumis au même chatiment, elle préfère fuir. Ce besoin de fuir existe depuis longtemps, comme le soutien Madame Duras, en effet les hommes et les enfants cherchent depuis leur plus jeunes ages à quitter le foyer, fuir de la maison au détriment de la femme qui y reste enfermer. De plus, si l’on s’appuie sur le texte de Monsieur Escudié, la plupart des français on émis l souhiat de déménager de leur foyer actuel des suites du confinement. Ce qui exprime le besoin de fuir ce qui nous déplait a l’instar de la jeune fille énonçait précedement.
        Mais cet enferment ne peut il pas être le présage d’une ouverture plus grande vers le monde.

        On dit souvent que la maison est le reflet de l’âme. En effet, on peut la prendre comme un lieu d’expression qui nous aide à nous devellopper.
        Lorsque l’on a une maison, nous avons envie de nous sentir chez nous. Pour cela, on essaie de la mettre à notre goût et l’on s’exprime. C’est l’idée que ce fait Madame De Beauvoir, lorsqu’elle évoque que les femmes souhaitent rendre la maison jolie, elles laissent s’exprimer leur créativité,  leurs émotions, leurs goûts. Une maison à elle, qui leur ressemble, afin de s’y sentir à l’aise. De ce fait, elles pourraient trouver le courage et la liberté d’écrire, comme le pense Madame Woolf. L’espace à soi, permet d’être en confiance, et lorsque les femmes sont en confiance, elles peuvent s’exprimer librement, sans peurs ni craintes.
        Ce lieu d’expression permet à l’Homme de se develloper. C’est ce qu’annonce Madame Duras, qui prend le point de raliemment entre les hommes et les enfants, à savoir la femme, cmme la maison. Cette maison aide l’enfants à se découvrir mais aussi à découvir les autres. Il devellope son esprit, son carctère social et son emphatie pour les autres. La femme, la maison, l’aide à aller toujours plus loin dans le dépassement de soi. Monsieur Vinclair, lui, par du principe que le téléphone est comme une petite maison pour les humains. Petite mais avec de grandes ressources qui develloppe les qualités critiques, humoristique et sociales de l’Homme. Cette petite boîte nous permet également de prendre connaissances des enquêtes menaient autour de la maison, comme celles évoquées par Monsieur Euscudié. En effet, grâce a ses enquêtes, nous develloppons nos connaissances concernant les inégalités relatives aux logements.

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