Et au pire on se mariera (Créatif)

Hugo Girard
Techniques de comptabilité et gestion
groupe 6826

Et au pire, on se mariera rencontre Scarface
d’après le roman Et au pire, on se mariera de Sophie Bienvenu

Volet créatif présenté à
Mme Julie Roy
Département de littérature et de communication
pour le cours
Littérature québécoise

Cégep de Sherbrooke
8 juin 2018

La création visuelle que j’ai faite est un montage numérique voulant parodier l’affiche de publicité du film Scarface, car à l’intérieur du roman Et au pire, on se mariera de Sophie Bienvenu le personnage principal fait référence à ce film culte américain mettant en vedette Al Pacino. J’ai pris sur le moteur de recherche Google pour trouver des photos qui illustre les personnages de Aïsha et de Baz dans la version cinématographique du roman de Sophie Bienvenu. Étant donné que je voulais rapporter le plus possible l’œuvre à l’étude à ma création, il était tout à fait pertinent d’utiliser les acteurs du film officiel de l’œuvre pour remplacer les personnages du film américain. J’ai remplacé le rôle de Tony Montana dans l’affiche de Scarface par Baz sur la mienne, mais j’ai pris soin de centrer et de laisser un peu plus d’expositions au personnage d’Aïsha parce que c’est le protagoniste principal dans le roman. Pour ça part, elle remplace le personnage d’Elvira Hancock dans l’affiche de Scarface. Aïsha dit dans le roman que lorsqu’elle sera grande elle deviendra plus belle que l’actrice dans le film américain et qu’elle aura également de plus gros seins qu’elle. Je tentais de montrer cette petite allusion coquine en remplaçant Elvira par Aïsha dans mon montage final. J’aurais pu mettre une photo de Hakim, le père de Aïsha dans le roman, à la place de Baz. Ça aurait été tout aussi pertinent, mais le rendu que je voulais obtenir ressortait mal avec la couleur de peau du personnage de Hakim et de belles photos de lui étaient plutôt difficiles à trouver puisqu’il n’apparait pas pour longtemps dans le film. Sur une touche personnelle, je trouvais ça embarrassant un peu le fait que le père de Aïsha ait abusé d’elle lorsqu’elle avait neuf ans. J’ai préféré utiliser Baz pour cette raison entre autres. J’ai utilisé le programme informatique Adobe Photoshop pour pouvoir effectuer mon montage. C’était plus facile de faire exactement ce que je voulais avec l’ensemble des outils de transformations et de modifications que l’on peut avoir accès à l’aide de cette application. Les photos des personnages ont été filtrées et modifiées en contraste plusieurs fois pour obtenir des images qui sont uniquement constituées de teinte de gris afin d’en améliorer la visibilité par rapport à une photo en noir et blanc seulement. Je sais, c’est un peu différent de l’affiche de Scarface, mais je suis très content du résultat obtenu tout de même. Ensuite, il fallait copier le plus fidèlement possible la calligraphie, le thème noir, blanc et rouge ainsi que la disposition des éléments écrits dans l’affiche publicitaire du film Scarface. J’ai pris exactement la même calligraphie en utilisant le rouge pour le titre, comme l’affiche originale. Le rouge au travers des teintes entre le noir et le blanc donne un rappel de la fatalité de la situation finale du roman Et au pire, on se mariera. Dans le film Scarface, je crois que le rouge signifiait également la mort par le meurtre, alors la parodie entre les deux est encore plus représentative du contenu. Sinon, j’ai mis uniquement à droite le nom de l’auteur comme sur l’affiche du film américain. Aussi, j’ai laissé la citation de Tony Montana dans le film Scarface à la gauche de mon montage. C’est la citation qui est écrite à l’intérieur du roman au choix également. Aïsha dit cette citation pendant son interrogatoire au début du roman pour montrer qu’elle a appris l’anglais avec ce film. Je voulais faire un clin d’œil aux deux œuvres en l’insérant dans mon montage. Pour finir, si jamais vous n’avez pas vu le film du roman Et au pire, on se mariera, il est disponible en ce moment sur Super Écran sur demande et il en vaut la peine.                                                                           628 mots

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