Patrick Modiano
Dissertation : Patrick Modiano. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar lplpgf • 22 Novembre 2021 • Dissertation • 586 Mots (3 Pages) • 547 Vues
Patrick Modiano : Humble, timide, qui s’intéresse au gens (annuaires)
Livres réaliste autobiographique. Ecriture lié a sa naissance en 45 (après-guerre et guerre pour les plus vieux)
Origine de l’œuvre : avis de recherche en 1941 trouvé en 1988. Interpelé car D. B. vit dans son ancien quartier (boulevard Ornano bcp énoncé)
Long travail car dès la première page il dit : il y a 8 ans.
3 cadres temporels = flou (31 décembre 1941 annone publiée, mai 1958 souvenir, janv. 1965 souvenir)
Portrait impersonnel : avis de recherche donc juste le physique (caractéristiques physiques : yeux, visage etc., habits : jupe, chapeau)
2nde personnage sans liens avec Dora et Modiano. Photographe vu par un enfant : le gros vieux photographe au nez grumeleux, il est usé par la vie : chaussures trouées. Petit garçon touché par le photographe miséreux. Symbolique entre Modiano et le photographe comme immortaliseur.
Souvenir heureux avec sa mère, il se rappelle du quartier et de sa routine passé là où Dora Bruder a vécue aussi.
Cadre pensionnat Dora, atmosphère sombre et lugubre Modiano va même jusqu’à faire la parallèle entre le pensionnat et une prison : Prison lugubre ; de hauts murs. Absence de lumière dans paris occupée. La ville est morte. Parallélisme entre les parents de dora et leur enfant ils sont enfermés dans une chambre d’hôtel tandis que dora elle est dans un pensionnat.
En premier temps de l’enquête il ne cite que des documents officiels il est certain de l'ordonnance par rapport au contrôle des juifs numéro de dossier que possède Dora. En 2nd temps il émet des hypothèses en utilisant les modalisateurs : je doute, ils devaient penser.
Modiano fait une analyse sur son enfance : *je me souviens*. Il utilise également des questions rhétoriques, la fugue de Dora est causée par la solitude qu'il appelle présence d'une métaphore intéressante avec la comparaison d'un étau qui se referme, le texte c'est refermé sur la petite ce qui appuie sur l’atmosphère sombre déjà présente
Tout d'abord Modiano rappelle le contexte : 3 étapes qui montrent le côté implacable de l'armée allemande *À cause de* *en prévision* *décider*. Modiano énumère le prénom de 4 filles en faisant cela il leur rend hommage pour qu’elles ne soient plus de vulgaire numéro. Il ne dit pas qu'elles sont mortes mais c'est un euphémisme Modiano évoquant convoi pour Auschwitz avec le mot illusion plus la présence du conditionnel on comprend que les déportés ont été mis dans le mensonge et conduit à la mort sans en être au courant. Ensuite il revient l'histoire de Dora Bruder et son enquête il émet encore des hypothèses, question rhétorique il termine par des dates précises le 9 *elle préfère rester avec son père* il termine bien l'histoire de chaque personnage il fait également 11 (entre ligne 11 et ligne 13) la répétition du convoi pour agir et ligne 12 les arrestations il continue l'histoire en faisant bien le lien entre Paris désert en 1942 et Paris désert en 1995 1996
Pour finir, il continue l'histoire au présent d'énonciation ce qui donne l'impression qu'il finit seul le roman en le lisant. Il est hanté par Dora avec l'espoir de pouvoir enquêter à nouveau sur elle. Il dit je ne peux m'empêcher de penser à elle ? on ressent le manque. On remarque une ouverture vers le futur parce qu'il montre que l’enquête ne sera jamais vraiment finie. A force de pendant 8 ans enquêter sur elle ne plus avoir a y penser le rend triste, attaché a Dora pour toujours.
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