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Fait-on le mal volontairement ?

Dissertation : Fait-on le mal volontairement ?. Recherche parmi 299 000+ dissertations

Par   •  14 Décembre 2021  •  Dissertation  •  1 317 Mots (6 Pages)  •  1 141 Vues

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Fait – on le mal volontairement

                Ce sujet nous interpelle sur la bonté humaine . Le mal est-il propre à l’humain ? Sommes nous dirigé par notre nature à faire le mal? En effet , le mal ici est associé à la contrainte imposé par notre nature . Il ne nous ai pas de demandé si nous faisons le mal contraint mais si nous faisions le mal volontairement .  La notions de la volonté fait échos aux principes de la liberté et exclu ainsi toute sorte  de contraintes . Ce sujet pose problème car la notions du « mal » est relative à chaque société et qui peut prétendre détenir la vérité sur ce qu’est le mal ? En conséquences comment pourrions nous faire volontairement ce que nous ne sommes pas toujours certains qu’elle est mal pour nous les autres ?C’est un sujet important qui nous oblige donc à étudier la relativité dans la « notions » du mal qui remet donc en question l’intention volontaire ou involontaire des hommes à faire le mal . Certains soutiennent que le mal est contre nature de l’homme donc volontaire tandis que dans d’autres circonstances ce qui est perçu mal pour l’un peut être bien pour l’autre . Quelle est la réponse qui convient le mieux à ce sujet ? Nous allons voir dans une première partie que   qu’en apparence  nous faisons le mal volontairement mais que cette notions est subjective  ; puis dans une seconde partie que l’oposition entre Kant qui affirme que  bonne volonté suffit pour se guider sur le chemin de la morale et qu’elle est accessible à tous  Socrate , le père de la philosophie  la faute morale provient d'une faute intellectuelle et est donc involontaire  et exclut les savant .

                Dans l’action mauvaise produite par l’homme dite volontaire nous qu’elle est donc  dépourvu de toute contrainte  . L’homme agit en connaissances de la porté de ses actes  sur autrui . En effet , lorsqu’un   mal définit par la loi  est commis comme un cambriolage ou un harcèlement , l’acteur de ce délit à conscience que son action est mal car elle n’est pas relative selon les croyances de chacun mais est propres aux règles de sa société et régit dans la lois . De plus ,  ayant conscience des conséquences , les hommes tenteront de masquer ces actions afin de ne pas être juger par l’opinion publique . Les Hommes font-ils donc le bien par nature ou par conformisme aux normes de leur sociétés ? Cela renvoi également à la notion du mal qui se demanderons nous si elle est réellement involontaire ou volontaire mais enfuit en chacun afin de se conformer à nos sociétés . La notions de volonté amplifie le débat car plusieurs contraintes sont implicite dans ce problème . En effet , comment pourrions-nous avoir conscience que notre action est mal si nous ne possédons pas toutes les connaissances ? Qui définis le bien et le mal ? Notre bien à nous peut etre le mal de notre voisins . En effet , dans une société dite cosmopolites où les cultures et les religions se rencontrent , le bien et le mal qui n’est pas fixé dans les lois donc subjectif peut mener certains hommes à faire le mal de façon involontaire . Effectivement , dans la situation où un Homme pousser par un élan de générosité offre une nourriture contenant de la viande porcine à un sans-abris de confession juive ou musulmane , l’Homme en tentant de faire le bien fait involontairement du mal qui par définition se réfère à  tous les événements accidentels ou non, aux comportements ou aux états de fait jugés nuisibles, destructeurs ou immoraux, et qui sont sources de souffrances morales ou physiques. La relativité peut également s’effectuer entre les  sociétés . En effet , lors des guerres de religion opposant les musulmans aux chrétiens chacun des deux clans estimait ces guerres légitimes et nécessaire pour répandre leur croyance et imposer leur notions du  bien et du mal à leur adversaire de n’importe qu’elle façon  . Cependant , certains actes sont universellement jugé de la même façon par les sociétés comme le meurtre ou le vol qui est universellement condamné , s’opposant ainsi à des pratiques comme l’anthropophagie condamner par certains et pratiqués par d’autres . Face à ces contextualisation nous pouvons donc voir le bien et le mal n’étant pas régis l’un et l’autre par une règles dominante sur tous ses aspect , règle une notion qui  peut difficilement être volontaire car personne n’agit avec les connaissances universelle .

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